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- Les QUIZ !
- Les articles…
René Caillié… Quelques messieurs pourtant bien tranquilles… Gaspard de Besse… Coq, gau, gal… - Le Groupe Passadoc raconte un peu… beaucoup… passionnément !
L’histoire d’un tournage … Les chemins de la tranhumance… - Vagabondages…
- Quelques images d’ici, d’ailleurs, d’un peu plus loin.
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Elle a brillé dans un sport, lequel ? Et comment s’appelle-t-elle ?
Petit indice : elle est née à Grasse.
C’est Michèle Mouton, née en 1951 à Grasse, surnommée parfois par ses pairs français et la presse ouest-allemande Le beau volcan noir .
C’est une pilote de rallye, fille d’horticulteurs provençaux, dont la vocation première était de devenir éducatrice spécialisée pour adolescents en difficulté.
Elle a remporté quatre rallyes en mondial et quatre en européen.
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Comment se nomme cette grotte et où la trouve-t-on ?
Petite indice : c’est dans l’Aveyron !
(Quiz proposé par Marie Martin)
C’est la grotte de Sainte Tarcisse… et voici son histoire !
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Quel est donc cet appareil ? Où le trouve-t-on ?
Petit indice : un village de Vaucluse
(Quiz proposé par Marie-Odile Beraud)
C’est un cabestan ; il se trouve sur la place de Mirabeau.
C’est un treuil à axe vertical autour duquel s’enroulait la corde qui tirait les bacs traversant la Durance quand le courant était trop fort.
C’est également à Mirabeau qu’en 1986 ont été tournées des scènes de Manon des Sources et Jean de Florette, films de Claude Berri. C’est à Mirabeau que se trouve la fontaine de Manon.
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Quel est le nom de cette dame ? Originaire de la Manche, elle a 18 ans lorsqu’elle rencontre Jaurès à Toulouse, ce sera le grand tournant de sa vie ; elle eut un destin hors du commun. Journaliste, pacifiste, féministe, elle fut de tous les combats. Petit indice : elle est décédée dans le Lot.
C’est Marcelle Capy, pseudonyme de Marcelle Marquès. C’est une journaliste, écrivaine, militante syndicaliste, pacifiste et féministe libertaire française.
Elle fut directrice de La Ligue des droits de l’homme et fondatrice avec son compagnon, Pierre Brizon, du journal pacifiste, socialiste et féministe La Vague.
Dans ses livres, ses conférences, ses articles, elle soutient un triple combat :
– pour la paix en dénonçant l’horreur et l’absurdité de la guerre ;
– féministe en soulignant le rôle fondamental des femmes dans la société moderne qu’a révélé la Première Guerre mondiale
– et socialiste libertaire de caractère surtout moral et philosophique, en prônant le devoir de solidarité.
Elle est décédée en 1962 à Pradines (Lot).
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Manifestement cet homme est un artiste… et la légende de la photo donne un indice.
Mais qui est-il ? Et quel était son art ?
C’est Louis Sicard, céramiste, sculpteur et écrivain français. Il naît en 1871 à Aubagne et meurt dans la même ville en 1946.
Appartenant au courant félibréen, il est célèbre pour avoir créé la première cigale en faïence en 1895. Il est reconnu pour ses connaissances techniques dans le fonctionnement des fours et la préparation des argiles.
Pendant de longues années, il est professeur de modelage et de tournage à l’école des garçons d’Aubagne (1901-1943) et enseignant à l’École des beaux-arts de Marseille (1924-1943). À plusieurs reprises, il perd les poursuites judiciaires engagées contre ses concurrents pour protéger ses modèles à la cigale. Ses deux fils, Georges (1904-1989) et Théo (1911-1970) prennent la succession de son atelier, à sa mort. Sa sœur, Thérèse Neveu, fut une santonnière provençale réputée.
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Les marbres de Carrare sont mondialement connus. Mais il est en Passadocie un beau marbre rouge utilisé, entre autres, dans la décoration du château le plus emblématique de France. Où se trouve cette carrière ?
Il s’agit de la carrière de Caunes-Minervois. Déjà exploitée par les Romains, la carrière de marbre rouge incarnat, aujourd’hui désaffectée, est appelée “Carrière du Roy” en hommage à Louis XIV. Celui-ci fit extraire d’énormes blocs de marbre que l’on peut admirer à Versailles, au Grand Trianon, au Louvre…mais aussi dans des églises, chapelles et riches demeures de la région.
“Douze colonnes furent transportées à Versailles ; une treizième avait été faite au cas où l’une des autres serait brisée pendant le transport. Comme il n’en fut rien, la treizième trône désormais dans un jardin public de Carcassonne“.
Hervé Grauby.
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Voilà une mode vestimentaire qui sent fort la période révolutionnaire.
D’ailleurs la légende de la photo ne laisse aucun doute à ce suje Carmagnole Liberté !
Mais… quel est le nom de cette révolutionnaire ?
C’est Claire Lacombe. Elle naît à Pamiers (Ariège) en 1765.
Elle arrive à Paris en 1792. Elle adopte les idées révolutionnaires et rejoint le Club des Cordeliers, assez radical et proche des Montagnards.
Le 25 juillet 1792, elle se fait remarquer en demandant à l’Assemblée Législative de se battre – comme les hommes – contre les tyrans. Elle récidive le 10 août 1792 en participant à la prise des Tuileries.
Ensuite elle se rallie aux Enragés, dirigés par le prêtre Jacques Roux, favorable à des mesures sociales, et qu’elle estime plus radical et proche du peuple que les Montagnards.
Les historiens perdent sa trace en 1798. On ne sait donc pas quand et où elle a fini ses jours.
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Claude Boyer
René Caillié, en route pour Tombouctou
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Quelques messieurs pourtant bien tranquilles
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Gaspard de Besse, “le Robin des Bois provençal”
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André Abbe
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Marie Martin
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Philippe Natalini
L’histoire d’un tournage Été 44 : Mémoires d’un Commando d’Afrique
La très intense semaine de tournage des images de notre film intitulé “Été 44 : Mémoires d’un Commando d’Afrique”. Durant quatre jours, “Provence 44 Productions” a mis en scène, reconstitué et filmé différentes actions menées par les Commandos d’Afrique qui dès le 15 août 1944 qui ont été les premiers à débarquer en Provence.
Ces remises en situation ont été effectuées en suivant scrupuleusement le récit que nous en a fait notre très cher Pierre Velsch lequel se trouvait aux premières lignes lors de ces opérations. Pierre nous a d’ailleurs honoré de sa présence quotidienne lors de ce tournage, ce qui l’a ramené dans des situations auxquelles il avait participé quelque 77 ans plus tôt.
Je tiens par ce post à transmettre les remerciements de Pierre (il me l’a expressément demandé) à l’ensemble des personnes, associations, collectivités et/ou entités ayant rendu possible ce tournage. La liste est bien trop longue pour que je l’énumère ici, mais les acteurs, figurants, cadreurs, édiles locaux, sociétés, particuliers, logisticiens, hébergeurs, reconstituteurs, collectionneurs, historiens, contributeurs, soutiens, etc., concernés se reconnaîtront.
J’illustre ces remerciements avec quelques photos de l’ambiance de ces quatre journées intenses de tournage qui précédent la phase de post-production dans laquelle nous entrons désormais. Merci à toutes et tous pour cet engagement à la gloire et en hommage à nos valeureux commandos d’Afrique, au premier rang desquels figure le très respectable Pierre Velsch.
Article de presse relate une des journées de tournage du film sur les Commandos d’Afrique..
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André Abbe
Les chemins de transhumance, “carraire” en provençal…
Dans les années 70, les chemins de transhumance, “carraire” en provençal, étaient encore bien marqués car les troupeaux transhumant à pied étaient encore nombreux. Aujourd’hui beaucoup de ces carraires sont envahies par les broussailles. Certaines ont été clôturées par des propriétaires de villas qui n’en avaient pas le droit.J’ignore ce qu’est devenue la carraire photographiée dans l’arrière pays varois, il y a 50 ans bientôt, alors que j’accompagnais le troupeau de Paul et de Lilou, bergers roquebrunois.
André Abbe
Hérault.Gignac… nous nous sommes trouvés dans les rues du village envahis de moutons, brebis et bélier en tête. En fait, il s’agissait de la tranhumance, le berger partait par les drailles de Aumelas, passait par la commune de Gignac… hélas les ovins avaient un peu perdu leurs repaires, car la draille , aujourd’hui passait par un lotissement flambant neuf. […] Le troupeau se dirigeait vers le pont d’Hérault, Montpeyroux , passait par la source Sainte Brigitte, Le berger tranhuman faisait sa halte à Montpeyroux, pour repartir le lendemain vers Arboras et rejoindre le plateau du Larzac pour s’installer sur la commune de La Vacquerie – Saint Martin-de-Castres pour faire paître ses ovins durant la saison estivale.
Alain Cathala.
Donc hier soir les troupeaux rentraient. Depuis le matin, le portail attendait, ouvert à deux battants ; les bergeries étaient pleines de paille fraîche. D’heure en heure on se disait : “Maintenant, ils sont à Eyguières, maintenant au Paradou.”
Puis, tout à coup, vers le soir, un grand cri : “Les voilà !” et là-bas, au lointain, nous voyons le troupeau s’avancer dans une gloire de poussière. Toute la route semble marcher avec lui…
Les vieux béliers viennent d’abord, la corne en avant, l’air sauvage ; derrière eux le gros des moutons, les mères un peu lasses, leurs nourrissons dans les pattes ; les mules à pompons rouges portant dans des paniers les agnelets d’un jour qu’elles bercent en marchant ; puis les chiens tout suants, avec des langues jusqu’à terre, et deux grands coquins de bergers drapés dans des manteaux de cadis* roux qui leur tombent sur les talons comme des chapes.
Tout cela défile devant nous joyeusement et s’engouffre sous le portail, en piétinant avec un bruit d’averse…
A. Daudet – Lettres de mon moulin.
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Maryse Laugier
La sirène de Castellane.
La Haute Provence présente une particularité géologique remarquable. Alors que la plupart des régions sont couvertes de cultures ou de végétations, apparaissent ici de nombreux affleurements rocheux riches en sites fossilifères.
Tout autour de Digne on retrouve des fossiles d’animaux marins. Au nord de Castellane, des restes d’animaux rares sont conservés dans les dépôts sédimentaires de l’écorce terrestre : lamantins et leurs cousins les dugongs
Dans l’Odyssée d’Homère, les divinités de la mer sont appelées sirènes. Elles sont dotées d’un chant magique, séducteur, mortel : les navigateurs n’y résistent pas et les bateaux viennent se fracasser sur les récifs côtiers.
Elles sont alors représentées avec un corps d’oiseau et une tête de femme avant que la tradition scandinave n’en fassent de belles créatures aux longs cheveux et à queue de poisson recouverte d’écailles… comme dans le joli conte d’Andersen La Petite sirène.
(Sources : Wikipédia – Les Sirènes de Castellane)
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Ludovic L’Hôpital
Peyrusse-le-Roc – Aveyron
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Thiery (Alpes Maritimes). Petit village perché en sentinelle au-dessus
d’un cirque de collines boisées, dans un cadre d’une sérénité absolue.
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