La Gazette de Passadoc n°21 : traditions et cartes postales

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  • Les QUIZ !
  • Les articles de la semaine
    Avenue du XVe Corps… Hélion, des Arcs à Rhodes… À quoi servent les sonnailles ?…
    Quau ten la lengo… Quand les vers avaient la cote !… La “dame à la capuche”…
  • Le Groupe Passadoc raconte un peu… beaucoup… passionnément !
    Leï Martegau preno la luno per un fanauMarcel Pagnol… Julien de Casabianca… Il y a 9 ans, à Collobières… L’étonnante histoire de Kiki, le sanglier… 11 juin 1944, à Lambesc…
  • Vagabondages en Passadocie…
  • Sorties, expositions…
  • Quelques images d’ici, d’ailleurs, d’un peu plus loin.
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Photo Babelio

On trouve peu de photos ou de portraits de cet homme dont l’art a pourtant fait rayonner la France auprès des plus grandes monarchies de la planète.
Mais quel est son nom ?

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C’est Urbain Dubois, né à Trets (Bouches-du-Rhône), le 26 mai 1818 et mort à Nice le 14 mars 1901.
C’est un cuisinier français connu surtout pour ses ouvrages devenus des classiques de l’art culinaire.

Il fait son apprentissage au sein de la famille Rothschild, travaille successivement dans trois grands établissements parisiens : le Café Tortoni, le Café Anglais, et Le Rocher de Cancale.
Il sert ensuite le prince Alexeï Fedorovitch Orlov, à qui il dédie notamment sa recette du “veau Orlov”. Puis, pendant plus de vingt ans (entre 1864 et 1885), il devient chef de bouche de la maison de Guillaume Ier, roi de Prusse et empereur d’Allemagne.

Photo Abebooks

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Photo Wikipédia

Cette dame n’a pas laissé son nom à la postérité, sa gloire fut locale.
C’est à Lyon qu’elle fit beaucoup pour réconforter et aider des hommes qui en avaient bien besoin.
Quel est son nom ?
Petit indice : on l’appela La Madelon !

C’est Clotilde Bizolon, dite la mère Bizolon ou la maman des Poilus, née Clotilde Thévenet le 20 janvier 1871 à Coligny, dans l’Ain, et morte le 3 mars 1940 à Lyon.
C’est une personnalité lyonnaise qui consacra une partie de sa vie au soutien des soldats de la première guerre mondiale. Après le décès de son mari, puis de son fils Georges au début de la Première Guerre mondiale, elle se retrouve seule. Avec l’aide d’amis et de voisins, elle crée près de la gare de Perrache (Lyon) une buvette de plein air (un pied humide comme on dit à Lyon), lieu dédié à la détente et au réconfort des Poilus passant par cette gare. Elle leur sert du café, du vin et leur prodigue encouragements et réconfort.

Photo Wikipédia

Clic ! ♫♪♪♫♪ Quand Madelon vient nous servir à boire… ♪♪♪♫♫♪♫

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Photo My Provence

Voilà une chapelle des Bouches-du-Rhône, difficile d’accès mais quel paysage !
Mais quel est son nom et où se trouve-t-elle ?

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Il s’agit de la chapelle Saint-André-de-Julhans, classée monument historique.
Elle est située sur la commune de Roquefort-la-Bédoule.

Photo Wikipédia

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Photo Les régions de France

Voilà une bien étrange façon de disposer les cultures !
Où trouve-t-on ce découpage de terrains ?
Petit indice : c’est en Occitanie.

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C’est l’étang de Montady… un ancien étang asséché au Moyen Âge, situé dans l’ouest du département de l’Hérault, entre Béziers et Narbonne, sur les communes de Montady et de Colombiers.

Grâce à des canaux de drainage, l’eau est conduite vers un collecteur central, ce qui explique la disposition en étoile des champs et des vignes. Ce système de canaux remonterait au XIIIe siècle. L’eau est ensuite évacuée par un fossé à contre pente vers l’étang de Capestang et par une galerie sous la colline d’Ensérune et sous le tunnel de Malpas.Des fortes pluies peuvent le faire réapparaître.

L’étang est visible depuis la tour de Montady, vestige de l’ancien château du XIIe siècle.

Peut être une image de nature et ciel
Photo TripAdvisor

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Peut être une image de pont
Photo TripAdvisor

Ce magnifique aqueduc est bâti entre 1753 et 1765 en Occitanie.
C’est Henri Pitot, ingénieur en hydraulique français, qui est chargé de sa réalisation.
Il s’inspirera du Pont du Gard pour en dessiner l’architecture. Où peut-on l’admirer ?

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Sur les communes de Saint-Clément-de-Rivière, Montferrier-sur-Lez et Montpellier dans le département de l’Hérault en région Occitanie.

L’aqueduc Saint-Clément relie la Grande Source de Saint-Clément-de-Rivière au château d’eau de la promenade du Peyrou à Montpellier, en passant Montferrier-sur-Lez. Le pont-aqueduc du quartier des Arceaux est composé de 53 grands arceaux de 8 mètres d’ouverture et de 183 petits arceaux de 2,78 mètres d’ouverture, le tout sur une hauteur d’environ 28 mètres. Initialement, le débit constaté à l’arrivée de l’eau sur la promenade du Peyrou était de 25 litres par seconde.

Peut être une image de plein air et texte
Photo Braud

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Peut être une image de texte

Comment s’appelait Palavas-les-Flots à l’époque romaine ? Et que signifiait son nom ?
(Quiz proposé par Alain Cathala et Pascale Fernandez).

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À l’époque romaine, Palavas-les-Flots s’appelait Palus Avis. Cela signifie “oiseau des marais”.
D’autres sources expliquent que Palavas-les-flots tirerait plutôt son nom du latin palu avium : “le marais des oiseaux”.
C’est la ville des étangs : Étang du Prévost, Étang de l’Arnel, Étang du Grec, Étang du Méjean. On y observe les foulques, les flamants roses, les hérons cendrés, les goélands, les avocettes et les aigrettes, ainsi que diverses espèces végétales qui font des étangs un paysage unique, typiquement languedocien. Ils sont classés Natura 2000.

Peut être une image de une personne ou plus, plein air et texte qui dit ’49 PALAVAS-LES-FLOTS La Jetée Rive Gauche LL Adia’
Source : Uneautrehistoire


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Peut être une image de château et plein air
Photo Eklablog

Ce château se trouve dans les Alpes-de-Haute-Provence… Mais où ?
Petit indice : la vallée de l’Asse…

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Le château de Clumanc est un édifice situé à Clumanc.

Surnommée localement château des Périers, cette demeure appartenait à la famille de Perier. L’édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1978 et a été récemment restauré en partie.

Clumanc présente un habitat dispersé avec un assemblage de hameaux dans la vallée de l’Asse de Clumanc. Il n’y a pas de village-centre ni aucune localité précise portant le nom de la commune. La mairie et l’école sont établis au pied de la colline où se trouve le château appartenant a deux propriétaires différents.

Photo Notre Provence

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Claude Boyer

Avenue du XVe Corps – Passadoc

Avenue du XV e Corps

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André Abbe

Clic ! Hélion… des Arcs à Rhodes

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Clic ! À quoi servent les sonnailles ?

moutons

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Clic! Quau ten la lengo

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Clic ! Quand les vers avaient la cote !

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Jean-Yves Dumay

Clic ! La Dame à la capuche

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Claude Boyer

Leï Martegau preno la luno per un fanau

Au sujet de ce dicton, voici ce qu’écrit Yvon Bouffier dans son livre Mémoire des villes et villages de Provence” : “Cette cité contrôle l’entrée de l’étang de Berre avec une importante activité maritime. C’est la patrie de Gérard de Tenque, né en 1040 à Martigues, fondateur de l’Ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem et Grand Maître de l’Ordre de Malte. Le sobriquet s’est perdu, reste ce dicton”.
Moquerie des autres communes… ou jalousie ?

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Jack Dou Martègue Grande

Clic ! Marcel Pagnol

Photo France Culture

La compagnie des oeuvres (France Culture) :
Des épisodes pour mieux connaître cet écrivain, sa vie, son oeuvre : romancier, dramaturge, cinéaste…

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Philippe Natalini

Il y a 9 ans, à Collobières.

En cette période où il est encore trop souvent de bon ton de s’essuyer allègrement les pieds sur nos forces de l’ordre, une petite remise en mémoire s’impose !

Le 17 juin 2012, la maréchale des logis-chef Audrey Bertaut, 35 ans, et l’adjudante Alicia Champlon, 29 ans, étaient tuées lors d’une intervention, à Collobrières. Un drame qui avait provoqué une très vive émotion à travers tout le pays. C’était il y a 9 ans. C’était hier, pour toutes les personnes touchées de près ou de loin par le drame de Collobrières, où rien ne sera plus jamais “comme avant”.

Ce soir-là, la maréchale des logis-chef Audrey Bertaut-Landry, 35 ans, maman de deux petites filles, et l’adjudante Alicia Champlon, 29 ans, interviennent sur ce qui semble de prime abord un cambriolage suivi de violences.Toutes deux tomberont, en service, sous les balles d’Abdallah Boumezaar, à la suite d’un terrible enchaînement de violence, d’abord dans l’appartement de ce multirécidiviste fraîchement installé dans le cœur du village, puis dans les ruelles jusqu’ici paisibles de la cité. Une véritable chasse à l’homme se met alors en place dans la nuit et le suspect, qui reconnaîtra rapidement les faits, est arrêté au petit matin, avec sa compagne, Inès Farhat, 22 ans.

Cette tragédie avait alors plongé le pays entier dans la stupéfaction, suscitant une très vive émotion au sein de la gendarmerie, bien évidemment, mais aussi d’une population sous le choc. De nombreuses marques de sympathie étaient envoyées dans les gendarmeries de tout l’Hexagone et un hommage national était rendu, quelques jours plus tard à Hyères, par le ministre de l’Intérieur de l’époque, Manuel Valls.

En février 2015, au terme de neuf jours de procès, devant la cour d’assises du Var à Draguignan, Abdallah Boumezaar était condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une période de sûreté de trente ans. Sa compagne, poursuivie pour complicité du meurtre d’Audrey Bertaut, écopait de huit ans d’emprisonnement.

En leur mémoire, la caserne de gendarmerie de Pierrefeu du Var, porte leurs noms : Audrey et Alicia… à jamais dans nos coeurs.

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11 juin 1944, à Lambesc – Bouches-du-Rhône

… les Allemands veulent contrôler deux véhicules transportant des armes pour le maquis. Une fusillade éclate, les maquisards répliquent et un soldat allemand est tué.

À la suite de cet accrochage, un détachement allemand investit le village, arrête vingt-cinq hommes dans les rues, les bars et à leur domicile puis les rassemble sur la place du village. L’officier Allemand annonce qu’aucune représaille ne sera exercée si les hommes recherchés et s’étant réfugiés dans la montagne étaient rentrés avant le lendemain. Les vingt-cinq hommes sont relâchés dans la soirée. Mais, dans la nuit du 11 au 12 juin, des centaines de soldats allemands investissent les villages de Lambesc, La Roque-d’Anthéron, Rognes, Charleval et bloquent les routes et chemins d’accès aux collines.

Dès l’aube, camionnettes et chenillettes armées de mortiers montent à l’assaut du plateau, appuyées par trois avions de reconnaissance.Dans la matinée du 12 juin, plusieurs personnalités du village de Lambesc (contrôleur des contributions indirectes, receveur des PTT… ) sont arrêtées pour être emprisonnées à Cavaillon. Leurs domiciles sont fouillés et pillés. Celui de l’ancien maire, Amédée Remondin, étant parvenu à fuir, est incendié.L’après-midi, certaines parties du massif sont également en feu et l’incendie gagne le plateau. La plupart des résistants de Sainte-Anne se replient vers le bassin de Saint-Christophe à l’est, au “Castellas”.

Le groupe du plateau de Sèze, qui n’a pas été repéré par les Allemands, bouge vers l’est, affronte les Allemands à La Bastide-Blanche, avant de se cacher au-dessus du château de Caire-Val. Quelques-uns de ses hommes parviennent à rejoindre le maquis de Saint-Antonin.Toute la matinée du 12 juin, le combat fait rage. Les résistants acculés se battent avec acharnement contre un ennemi supérieur en nombre et en armement, en lui infligeant des pertes sévères. Mais les munitions s’épuisent, la forêt est incendiée et l’ordre de dispersion est donné. L’ennemi procède alors à une chasse à l’homme, des prisonniers et des blessés sont capturés, interrogés, torturés puis massacrés sur place.Tout au long de la journée, les hommes qui descendent des collines, même ceux n’ayant pas participé activement aux formations de la Résistance sont arrêtés. Certains qui étaient restés chez eux et qui se rendaient dans leurs champs, sont également arrêtés. Les exécutions commencent dans l’après-midi du 12 juin. Les hommes arrêtés à Charleval et à La Roque-d’Anthéron sont fusillés aux lieux-dits “Valbonnette” et “Pont d’Auvergne”, à genoux, les mains liées derrière le dos. D’autres, d’abord conduits à Salon, sont ramenés le lendemain, et exécutés le soir, après 20 heures, au lieu-dit “Le Fenouillet”.

Parmi les vingt-huit fusillés du “Fenouillet”, certains n’habitent pas les villages du pourtour de Sainte-Anne. En effet, les Allemands se sont saisis de l’occasion pour se débarrasser d’autres prisonniers et « vider entièrement la prison du 7ème étage du bâtiment 403 de la rue Paradis (Siège de la Gestapo de Marseille). Les prisonniers sont mis dans un car et conduits avec d’autres prisonniers se trouvant dans la prison des Baumettes au champ de bataille de la veille dans la forêt “Chaîne des Côtes” entre Charleval et Lambesc. Ils ont été exécutés sur les ordres de Pfanner, un responsable de la Gestapo. C’est le cas de résistants arrêtés à Martigues et Port-de-Bouc, et d’André Gérard, Gervais, Gerbaud. On trouve aussi, parmi les victimes, le pasteur Georges Flandre, Montcalm. Tous ont été dépouillés de leurs papiers d’identité et les corps, mutilés, sont méconnaissables. (Le rapport Catilina fait état de 96 ennemis tués et 43 prisonniers pour la journée du 12 juin 1944). La moyenne d’âge de ces martyrs était de 28 ans.

Après la Libération, des mémoriaux furent érigés sur les lieux de ces événements, qui, tous les ans, sont l’objet de commémorations. Un imposant monument honore, sur le plateau de Sainte-Anne, l’ensemble des victimes de cette sanglante répression. D’autres, en revanche, évoquent le souvenir de massacres qui se sont déroulés à l’endroit précis du supplice de leurs victimes, comme les multiples stèles ou le mémorial de la clairière du Fenouillet, à la Roque-d’Anthéron.

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Mo Lalario

Clic ! Julien de Casabianca

En Haute-Corse, dans le village de Luri, le street-artiste français Julien de Casabianca a réalisé deux gigantesques collages sur l’église, dont une immense Vierge Marie tirée d’un tableau du peintre flamand Rogier Van der Weyden.
Aucun blasphème : le collage est éphémère, la colle n’abime pas la pierre et l’artiste a eu l’aval des très sourcilleux architectes des Bâtiments de France. C’est le cœur du travail de cet artiste depuis plusieurs annéees : “sortir” les chefs-d’œuvres des musées pour les exposer en grand dans toutes les villes du monde.

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Méfi, ça boulègue

L’étonnante histoire de Kiki, le sanglier de Claviers

Il m’a été conté par les anciens – dont ma grand-mère – l’histoire de Kiki ….”N’est pas de Claviers, celui qui n’a jamais entendu parler du formidable Kiki !”
Ma grand-mère m’affirmait qu’il se prenait pour un chien, qu’il faisait le beau pour avoir la galette ; il reconnaissait son petit monde et le saluait avec entrain ! Une perle, ce Kiki … ! Sa mémoire traverse les générations ! Vé, il est pas beau ?

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Jack Dou Martegue Grande

Clic ! Balade nocturne à Martigues

Ballade Nocturne sur le quartier de l'île à Martigues

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Clic ! Les esclops !

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Les sabots (esclop en provençal) ont été utilisés en France par le peuple, dont les paysans et les pêcheurs jusqu’au début du XXe siècle. Il y avait les sabots de travail, peu ouvragés, et ceux du dimanche avec ornements sculptés et cuir ouvragé.
Une chanson populaire provençale est même dédiée aux “esclop”. La Capou en a fait une danse vive de couple sur l’air du “Branle du rat” (XVIe siècle).
(Lien : Instagram).

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À Valensole

Afin de faire revivre la mémoire patrimoniale, historique et les savoir-faire de notre village, l’équipe de bénévoles de Mémoire Vivante de Valensole a restauré cette charrette créée au siècle dernier par un charron du village. Elle est désormais installée à l’entrée du village en venant de Manosque.

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Marie-Odile Beraud

Clic ! Sur le chemin de la transhumance…

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Joël Cantié

Clic ! Aux Saintes-Maries-de-la-Mer

Ouverture de la fête votive avec la roussataïo des jeunes.
(Roussataïo → “rousso” : chevaux non montés. La roussataïo est une tradition d’antan : on menait les juments et leurs poulains non sevrés vers d’autres pâturages.

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André Abbe

Le marché aux fleurs

Peut être une image de une personne ou plus, personnes debout, fleur et plein air

1980… plus de vingt ans déjà !
Rue des Portiques à Roquebrune : les horticulteurs et horticultrices roquebrunois
ont investi le vieux village pour montrer au public la diversité de leur production.
Régine Chaudron présente ses magnifiques créations : gerberas, oeillets, …

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Philippe Levieux.

Tourrettes (Var). Le village est construit sur un escarpement rocheux
à une altitude moyenne de 400 mètres ; il est cité depuis l’an 1043.
Depuis le haut du village, la vue couvre un panorama allant de l’Esterel à la côte.

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Maryse Laugier

Clic ! La Pagode de Fréjus

La pagode a été édifiée par les Tirailleurs Indochinois (1917).
Ce lieu sacré est la plus ancienne pagode d’Europe.

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Ludovic L’Hôpital

Clic ! L’Aveyron depuis les hauteurs de Decazeville

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Hervé Grauby

Clic ! Les étangs héraultais

Du noir sur les lagunes ! Ou la découverte de l’univers des étangs Héraultais à travers les polars de Charles Aubert…

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Jack Dou Martegue Grande

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Peut être une image de 1 personne et texte

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Sébastien Genestal

Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’NADAU EN CONCERT ※ AU PROFII DES VIGNERONS DU BITERROIS SINISTRES PAR LA GGIELLIEEE NOIREE AVEC LA PARTICIPATION DE LA BANDA MESCLADIS PREMIERE PARTIE FLOREAL VAQUERIN ET HERVÉ FUNFSTÜCK VENDREDI 9 JUILLET 21H30- ARÈNES DE BÉZIERS RÉSERVATIONS BILLETTERIE DU THÉÂTRE MUNICIPAL DE BÉZIERS DU MARDI AU SAMEDI DE 13H À 18H 04 67 36 82 82 www.beziers./cutur/haete-municrpal ET POINTS DE VENTE TICKETMASTER www.ticketmaster.fr BÉZIERS VILLE BÉZIERS’

André Abbe

Clic ! À tous les amoureux de la Provence :
rendez-vous le 15 juillet à 18 heures !

Événement en ligne ! Un échange de souvenirs entre 10 passionnés de Provence ça vous dit ? Rendez-vous le 15 juillet à 18 h pour assister à un webinaire* en direct sur cette page ! Préparez vos meilleures anecdotes,vos témoignages, vos photos sur la vie en Provence et sur Roquebrune. Il y aura même un cadeau surprise pour les participants !

Je vous conseille de réserver votre jeudi 15 juillet (18h – 19 h : c’est un événement à ne manquer sous aucun prétexte !

*webinaire : une réunion interactive.

Peut être une image de animal

Amours limousines au sein de la Provence !

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Pierrette Hatton

Clic ! 22 juin, à Lucciana (Haute Corse)

Les galeries du musée archéologique de Mariana, à Lucciana, seront accessibles dès le 22 juin.

Le musée archéologique Rainier III rouvre ses portes.

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Patricia Tritiapat Gueirard

Le bonsoir du soleil sur la Presqu’île de Giens (Hyères – Var)

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Pascale Fernandez

La Couvertoirade

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Régine Soyris

Peut être une image de plein air et monument

Saint-Quinis

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