La Gazette de Passadoc – N° 38

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  • Les QUIZ !
  • Le Groupe Passadoc raconte un peu… beaucoup… passionnément !
    Le premier bagne de France… Les réseaux de renseignements… À Fréjus, il y a plus de 200 ans… Madame Louise… L’incroyable vie d’Emma Teissier… Un siffleur au XVIIe siècle…
  • Voyage en Passadocie
  • La bibliothèque de Passadoc
  • Quelques images d’ici, d’ailleurs, d’un peu plus loin.

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Philippe Natalini

Le premier bagne de France

Il a été érigé à Toulon en 1748…

À cette époque, Louis XV ordonne que la peine des galères soit remplacée par celle des fers. Ainsi débute la construction du premier bagne à Toulon qui était jusqu’ici le port d’attache des galériens.

L’origine du mot ” bagne” vient de l’italien bagno, du nom d’une ancienne prison d’esclaves à Rome. Ouvert en 1748, année où il a remplacé les galères, ce bagne pouvait accueillir plus de 4 000 prisonniers ; il a fonctionné jusqu’en 1873. Il a été le plus important établissement de ce type et celui qui est resté le plus longtemps en exercice.

Les bagnards étaient vêtus d’un uniforme composé d’une chemise rouge et d’un pantalon jaune. Tous portaient également un bonnet : rouge pour les condamnés à temps, vert pour ceux à perpétuité. Enchaînés deux par deux, ils couchaient collés les uns aux autres, dans d’immenses pièces de quatre cents places.

Selon leur conduite, les travaux qu’ils avaient à effectuer s’appelaient la “grande fatigue” ou la “petite fatigue”. La première consistait à travailler à l’édification des ouvrages du port, tâches harassantes et périlleuses. La seconde s’effectuait à l’abri, dans l’hôpital, aux cuisines, voire pour ceux sachant lire et écrire, dans les bureaux du bagne.

La discipline était impitoyable. En cas de meurtre d’un autre détenu ou de coups donnés à un gardien, c’était la peine de mort. Le cachot ou la bastonnade étaient appliqués pour les fautes moins graves.

Plus de 100 000 hommes passèrent entre ces murs. François Vidocq, qui après s’en être évadé pour devenir chef de la police, fut l’un d’entre eux.

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Les réseaux de renseignements

Et voici la présentation d’un des plus importants réseaux de renseignements de la Résistance du sud de la France durant la Seconde Guerre mondiale.

Ces réseaux de renseignements de la France Libre ne commencent vraiment à se développer qu’à partir de l’été 1942. Leur extension se fait parallèlement à celle des MUR (mouvements unis de la résistance) et contribue à la marginalisation du SR (service renseignements) des MUR. Elle montre la méfiance que l’on nourrit à Londres vis-à-vis de cette Résistance, très indépendante et trop “ politique ”.

Nouveaux venus ou récupérés sur les Anglais, le BCRA dispose ainsi d’un éventail étendu de réseaux de renseignements. Parmi ceux-ci, le réseau “Mithridate”.L’évolution de ce réseau, appelé jusqu’ici “Nilo”, est particulière. Créé en liaison avec les services britanniques par Pierre-Jean Herbinger (alias Colonel Bressac) de Saint-Raphaël, il est réorganisé en 1943, après avoir été très affecté par la répression allemande. En effet, le 8 avril, est affichée la condamnation à une peine de prison par contumace d’Herbinger et celle de son adjoint, André Aalberg, par la section spéciale de la Cour de Riom. Peu après, l’autre bras droit d’Herbinger, Marius Gibelin, est arrêté par l’OVRA (police italienne, pendant de la Gestapo).

Herbinger, qui est parvenu à gagner Londres, prend contact là-bas avec le BCRA. Lorsqu’il revient en France, deux mois plus tard, c’est pour travailler sous son égide et sous le nom de “Mithridate”. À Fréjus-Saint-Raphaël, ce réseau s’appuie toujours sur les membres des MUR. Son responsable local, Georges Dewaël, est un des anciens des débuts de Combat. Albert Pierrugues, chef cantonal de l’organisation Armée Secrète, employé dans une entreprise de travaux publics depuis sa révocation de la police, lui passe des renseignements avec la complicité active de son employeur (Ets Traversa) qui travaille pour les Allemands (et qui sera fort justement réhabilité à la libération). Jean Ramella de La Motte (83) servira également d’agent de renseignements dans ce réseau Mithridate de juin à septembre 1943, jusqu’à ce qu’il passe dans le réseau “France au Combat” tout en continuant à renseigner.
Sources : Thèse de Jean-Marie Guillon.

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À Fréjus, il y a plus de 200 ans…

Après une campagne d’Égypte plus que mitigée, Bonaparte rentre en France.

Le 08 octobre 1799, quatre frégates, la “Muiron”, la “Carrère”, “l’Alerte” et “l’Indépendant” mouillent devant Fréjus : à leur bord, le général Bonaparte et les généraux Duroc, Lannes, Marmont, Murat et Berthier.

Les quatre bateaux avaient quitté Alexandrie le 22 août et effectué un long détour afin d’éviter miraculeusement les navires britanniques très présents en Méditerranée. Les difficultés que rencontre le Directoire et l’enlisement des armées françaises en Égypte ont poussé l’ambitieux général à précipiter son retour en France.

Bonaparte passera la nuit dans l’hôtel Perreymond de Fréjus (aujourd’hui Hôtel Aréna, rue Général de Gaulle) puis repartira avec ses troupes jusqu’à Paris, acclamé tout le long de ce trajet par une population enthousiaste.

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Jeanne Monin

Madame Louise…

Mon grand-père était un conteur-né… Il égrenait ses souvenirs… et je crois que parfois il les embellissait un peu !…
Il avait été assez gravement blessé pendant la guerre, près du Mont Cassin et il passa de longs mois de convalescence du côté de Cogolin… De toutes les histoires qu’il racontait, c’est celle de Madame Louise dont je me souviens… Il me semble l’entendre encore…

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Quand je l’ai connue, Madame Louise ne sortait plus guère de chez elle, passant ses journées à tricoter écharpes et bonnets qu’elle déposait à “L’Olivier”, une boutique où l’on donnait aux miséreux plus qu’on ne leur vendait.

Dans les fermes d’alentour, tout le monde ou presque la connaissait. Elle me paraissait si vieille qu’à tort, je l’appelais “la centenaire”. Elle portait encore un bonnet à coques, tu sais, comme celui de la Mamette de Monsieur Daudet.
Elle avait appris à lire à des générations de gamins et de gamines et elle se souvenait des petits travers des uns et des autres… Assise près de la fenêtre, derrière ses rideaux de dentelle crochetée, elle regardait ceux qui traversaient la grand place ombragée de platanes.

Tiens ! Julien … éternel fâché avec l’orthographe ! Le voilà devenu boulanger… il était mignon ce petit…
À qui parle-t-il ? Ah oui ! À Claire… Claire-la-langue-de-vipère !… Elle va au lavoir pour le plaisir de répandre son venin, pour écouter les bugadières et s’en retourner clabauder en ville. Fière comme une dinde et bête comme une oie !

Ainsi marmonnait Madame Louise… Mailles à l’endroit, mailles à l’envers… Elle détricotait les années.
Que de patience, il lui fallait quand un parent – en fait, toujours le même, celui de la bastide du bas – venait contester les notes obtenues par son rejeton qu’il pensait petit prodige.

Mailles à l’endroit, mailles à l’envers… Elle souriait à son passé et sa journée s’étirait. Parfois, le cliquetis des aiguilles s’arrêtait… On entendait plus que le tic-tac de la pendule… Madame Louise s’était assoupie.
Mailles à l’endroit… Mailles à l’envers…

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L’histoire finie, mon grand-père bourrait sa pipe – “Ma bouffarde”, comme il disait – chaussait ses lunettes et me disait :
– Petite, passe-moi mon journal !

Photo Passadoc – André Abbe.

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Claude Boyer

L’incroyable vie d’Emma Teissier, la belle Fortunette des Baux…

Emma Teissier vient au monde à Maussane-les-Alpilles, le 17 janvier 1867.

Marcellin, son père, est serrurier et Marie Tellier sa mère tient la maison. Rien à priori ne laissait prévoir de ce que serait le destin hors du commun qui attendait la petite Emma. D’un caractère farouche, elle se montre vite comme une fille indépendante et la discipline est le cadet de ses soucis. De plus, elle est d’une beauté remarquable et dès son plus jeune âge, on la dit “admirablement belle, avec une poitrine divine“.

Cette beauté qui fait tourner bien des têtes, décide ses parents à la marier très jeune à un jeune paysan d’Arles du nom de Marc Jouve. Le jeune couple s’installe à Moulès, tandis que son mari est aux champs Emma devient la tenancière du café du village, ce qui n’est pas une bonne idée, car elle est aux premières loges pour subir la cour assidue de nombreux prétendants auxquels elle succombe sans trop se faire prier au grand désespoir de son mari.

Une fois, ce dernier rentre à l’improviste et l’amant, un Italien, saute par la fenêtre et se tue. Pour échapper à l’ambiance exécrable qui règne à la maison, elle fait une escapade à Nice, sans le consentement de son époux, et se présente à un concours de beauté. Elle emporte le premier prix et généreuse, elle remet son gain aux pauvres de la ville. Être déclarée la plus belle lui suffit et elle rentre à Arles. L’histoire ne dit pas la réaction de son mari à son retour, mais ils restent unis et un garçon prénommé Jacques naît le 9 avril 1887.

Mais la maternité ne calme pas les envies adultérines de la belle et le couple se déchire de plus en plus fréquemment. La mort de Jacques à 3 ans consomme leur rupture, Emma demande le divorce.

Fortunette, la muse des félibres
C’est la rencontre fortuite d’Emma avec le félibre Paul Mariéton sur le quai de la gare de Lunel dans l’Hérault qui va marquer une étape décisive dans la vie de la belle Maussanaise. Il a été – dira-t-il – “subjugué par l’arôme fin et sauvage de cette fleur de race“, qu’il décide de présenter à Frédéric Mistral avec la volonté d’en faire la muse des Félibres et l’incarnation de la beauté provençal

C’est ainsi que cette simple rencontre sur un quai de gare propulse le soir même Emma, au bras de Mistral comme reine de la fête, alors que le matin, encore le poète ne la connaissait pas. On entendra même des gens l’appeler “Madame Mistral”.

C’est ce soir-là que la jeune fille est baptisée Fortunette, en référence à la Fortunette de Mistral dans Calendal. Le lendemain soir, a lieu le banquet de Sainte-Estelle en présence de Mistral et Roumanille. En fin de repas, le discours du félibre Déandreis à peine terminé, Fortunette demande à pousser la chansonnette et la voilà qui entonne plusieurs airs du félibre du Paradou, Charloun Rieu dont Lou moulin d’òli et L’Oulivarello.

Une beauté qui dérange.
Ce repas, où Fortunette s’est illustrée va provoquer des réactions opposées. Les hommes sont bien sûr conquis par le charme de la belle Maussanaise. Mais comme de bien entendu leurs épouses scandalisées quittent les lieux où elle apparaît. Les félibres, troublés par ces réactions hostiles, ne convient pas Fortunette aux fêtes suivantes jusqu’en 1892 quand la Sainte-Estelle est organisée aux Baux, et que Emma fait son retour sous la forme d’un billet que reçoit Mariéton, billet qu’il fait passer à Mistral, sur lequel on peut lire : Puisque Fortunette n’est pas digne de s’asseoir à la table des poètes, ne peut-elle pas servir les poètes ? Elle voudrait passer le vin de la Coupo Santo. Le maître qui ne l’a pas oubliée ordonne qu’on la fasse venir et c’est humblement que Fortunette sert le vin sans toutefois se départir de cette fière allure qui est la sienne.

Cependant sa réputation sulfureuse et justifiée de croqueuse d’hommes, son aplomb lorsque, chantant debout sur la table elle toise les épouses ne font pas l’unanimité et des voix s’élèvent pour que l’on chasse cette “scandaleuse créature” du cercle des félibres. Voulant préserver la bonne réputation du félibrige, Mistral l’en exclut et lui conseille de quitter Avignon pour Marseille non sans lui avoir remis une recommandation pour l’Alcazar. Elle y fera merveille en entonnant un répertoire de chansons en provençal. Sa beauté et sa belle voix la conduiront à Barcelone où elle connaîtra aussi le succès.

Brésil, me voici !
Un soir un spectateur demande à la voir après le spectacle, c’est le directeur de l’opéra de Rio de Janeiro. Il n’en faut pas plus pour que Fortunette traverse l’Atlantique et s’installe au Brésil pour de longues années. C’est ainsi qu’en chantant Auguste Marin, Frédéric Mistral et Charloun Rieu à l’autre bout du monde elle donne une publicité internationale à un mouvement qui la trouvait embarrassante. Le Brésil l’a adoptée, elle y restera jusqu’en 1931 non sans faire quelques allers-retours en France où elle rencontre à nouveau les félibres.

Le registre des visiteurs du Muséon arlaten d’Arles atteste notamment de sa venue en date du 11 mai 1908, on y lit en effet : Emma Teissier : Fortunette d’Arles : cette fidélité à mes premières amours.
Emma s’est mariée au Brésil, puis devenue veuve à l’âge de 64 ans, elle revient définitivement à Maussane son village natal. Elle s’éteint le 3 janvier 1944 à l’hôpital de Salon-de-Provence. Elle allait avoir 77 ans.

Tant de conquêtes
L’existence de Fortunette a été émaillée, une longue suite de conquêtes, la plupart des félibres sont tombés, pour la majorité d’entre eux de façon platonique, sous le charme de Fortunette. On ne peut citer le nom de tous ceux que son charme a troublés. Mais quelques anecdotes permettent de discerner l’émoi que la personne de la belle Maussanaise provoquait chez ceux qui la côtoyaient. Paul Arène poète provençal, écrivait le lendemain de la Sainte-Estelle de 1892, aux Baux :

Péu negre, ieu negre, l’amo negro,
E blanco, vièsti chimarra,
Tristo en dedins, deforo allegro,
Es Fourtuneto e soun retra.
Siéu Petrarco, siés ma Lauro,
O bruneto is iue trop fer,
E baise, fòu coume l’auro,
Toun péu dru, coulour d’infèr.

[Cheveux noirs, yeux noirs, l’âme noire,
Et blanche, robe chamarrée,
Triste au-dedans, gaie au dehors,
C’est Fortunette et son portrait.
Je suis Pétrarque, tu es ma Laure,
Ô brunette aux yeux trop farouches,
Et je baise, fou comme le vent,
Tes cheveux drus, couleur d’enfer.]

Charloun Rieu, félibre des Alpilles.
Fortunette avait tenté la conquête de ce célibataire endurci. Un jour Emma lui déclara :
Si tu me veux, Charloun, si je te plais, prends-moi ! Je suis venue pour te faire plaisir.
Gêné, Charloun lui répondit :
Vois-tu, Fortunette, je ne peux pas : ce serait mal. J’espère encore me marier, qui sait ? Je voudrais rester sage pour celle qui voudra de moi…

Que reste-t-il de Fortunette ?
Fortunette n’a pas marqué l’histoire de la Provence, mais elle est irrémédiablement liée à celle des félibres. D’aucuns ont prétendu qu’elle inspira Daudet pour L’Arlésienne, mais si on étudie les dates, on s’aperçoit qu’il écrit sa nouvelle en 1869 alors que Fortunette n’a que deux ans…

Le visiteur du Muséon arlaten remarquera trois portraits d’Emma Teissier. On trouvait encore, au musée Réattu d’Arles, il y a quelques décennies, un buste en terre cuite signé Dieudonné la représentant.

Source texte : Généprovence

Photo Saint-Mémoire

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Alain Cathala

Un siffleur au XVIIe siècle

Chers amis Passadocois, Passadocoises !
Nous ne sommes pas en Occitanie, mais dans le Dauphiné, plus exactement dans le Grésivaudan (ne pas confondre avec le Gevaudan, rien à voir).

Suivez le guide !… Je ne pouvais passer à côté, sans vous demander :
– Savez vous ce que pouvait être un siffleur au XVIIe siècle ?

Lorsque le Roi visitait des jardins à fontaines, on les actionnait par des vannes 1/4 de tour dite à l’anglaise car elles s’ouvraient à droite et se fermaient à gauche.
(Lorsque j’étais apprenti plombier, j’en ai eu fait la fâcheuse expérience, car si on allait au-delà du quart de tour, la vanne sautait).

Pour ouvrir la première vanne et annoncer le Roi, un siffleur… sifflait ! On ouvrait la vanne, et après son passage du monarque, un autre coup de sifflet pour fermer celle-ci et ainsi de suite… ceci dans un souci de pression d’eau.

Les photos ci-dessous sont celles du château de Marcieu (Le Touvet – Isère). L’eau descend des cascades, alimente un énorme bassin en amont, qui à l’aide d’un système de termosyphon crée l’aspiration et ainsi amener la pression sur les bassins en aval.

Le grand escalier s’appelle “la fontaine bassin miroir” grâce au reflet du soleil. Et pour terminer ma petite histoire, Jean de la Fontaine eut une idée pour rendre un hommage aux fontainiers et poètes :
– La RACINE de La BRUYÈRE BOILEAU dans LA FONTAINE !


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Marie-Odile Beraud

Aujourd’hui, je vais commencer à partager des cartes postales anciennes des “Basses Alpes” (04). Ce département est devenu les Alpes de Haute Provence… Moi je préfère le premier, mais bon !
Donc c’est à Barrême dans les années 1900 que je vous entraîne… Si certains connaissent ce village, ne vous privez pas de commenter.

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Alain Cathala

Lorsque Montpellier avait des remparts…

Quelques mots empruntés à André Delort – qui dans ses mémoires de la ville de Montpellier au XVIIe siècle – parle de l’année 1691 et de la construction de la porte du Peyrou :
Quelque temps après qu’on eut achevé la promenade du Peyrou, qui a coûté 6.000 livres, MM. de Broglie et de Basville résolurent de faire une porte en entrant dans la ville, qui répondit à la beauté de cette promenade.

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Jean Paul Dubroca

Dolmen de Haute Suane – Sainte-Maxime (Var)

[…] Les fouilles livrèrent les restes incinérés d’une trentaine d’individus en deux couches séparées par de la terre et des pierres ainsi que de nombreux tessons de poterie dont un vase complet, des armatures de flèches, des fragments de lames et des éléments de parure. Construit au néolithique final, il fut réutilisé au chalcolithique.

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Philippe Levieux

Le splendide village de Saint-Cirq-Lapopie dans le Lot

N’hésitez pas à vous y arrêter si vous passez dans la région,
cette bourgade médiévale est un enchantement !

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Patricia Gueirard

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Guy Bouyer

La culture du mimosa à Roquebrune-sur-Argens

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Maryse Laugier

Les gorges du Verdon

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Vous aimez Passadoc… alors vous aimerez Roquebrune en images, un livre d’André Abbe.

(10% du montant de chaque livre est reversé à Passadoc)

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François Abbe

Bonjour les fidèles de Passadoc… Cette publication pour celles et ceux qui ont des soucis de santé. On pense à vous toutes et tous et en particulier à André Abbe qui reste très optimiste ! Laissez-lui un “J’aime”, voire un petit mot, ça fait toujours plaisir !

Photo André Abbe – Avec les pastres de l’amontanhadge

Plusieurs dizaines d’abonnés de Passadoc ont laissé un message
et des vœux bien sincères de prompt rétablissement !

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