La Gazette de Passadoc – N° 33

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96 pages et des photos uniques datant des années 1970 à 2000 !
Réalisé par une équipe 100 % Sud et imprimé dans le Tarn.
Passadoc reçoit un don pour chaque exemplaire vendu. CLIQUER ICI !

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“L’oubradou de la Fouant”
François Abbe, Guy Bouyer et Claude Boyer accrochent les photos-souvenirs

Clic ! … Exposition 18 et 19 septembre

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Publiée tous les vendredis, La Gazette de Passadoc regroupe les quiz, les articles ainsi que des récits, des photos et diverses informations parus tout au long de la semaine sur le Groupe Passadoc.
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  • Le courrier des lecteurs
  • Les QUIZ !
  • Le Groupe Passadoc raconte un peu… beaucoup… passionnément !
    “D Day” à Roquebrune… Nos souvenirs… La ville de Menton décorée… Pays de Cocagne… Saint-Ferréol-Revel… Monsieur Seguin a-t-il existé ?… Jaurès… 1944, débarquement de Provence… Septembre 1944, Monaco et Cap d’ail libérés… Le sémaphore de Dramont… La First Airborne Task Force… Saint-Martin – Vésubie… À l’oubredou de la fouant..
  • Passadoc informe…
  • Quelques images d’ici, d’ailleurs, d’un peu plus loin.

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Jean-Pierre Serra

Voici donc comme promis, les anecdotes sur la photo du “D-Day” de notre village
et bien sûr sur l’histoire de notre “Marianne” …


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François Abbe

Nos souvenirs…

Passadoc est né pour faire vivre nos souvenirs… les régions… les villes, les villages… les photos, témoins du passé… Pas de grise nostalgie ! Juste de souvenirs !

Sur cette photo*, Pierre Violino (papa de Jean-Pierre) part pour le régiment. Mais qui est à ses côtés ?

Jean-Pierre Serra
– Grâce à l’aide précieuse de mon père, j’ai pu identifier celui qui est agenouillé au centre avec le col de chemise blanche, à la droite d’Emile Plancha et devant Jean “Jeannot” Galfre tenant son petit-frère Richard dans les bras …Il s’agit de Léonce Senequier … Il a aussi reconnu celui qui est debout à droite à la gauche d’Albert “Bébert” Coulet, mais il n’a pas réussi à se souvenir du nom …

Sabine Avois
– M. Senequier… Un rapport avec Odette la mercière où rien à voir ? Par contre je ne suis pas arrivée à identifier la dame entre maman et ma grand-mère. Ni le monsieur agenouillé a leurs pieds…
À côté de Bebert, ne serait-ce pas Louis Carletto ? Il travaillait chez mes grands-parents comme électricien…

Jean-Pierre Serra
– Effectivement on dirait le père de Louis Carletto, dont j’ai oublié le prénom et qui a aussi travaillé chez ton oncle Jeannot … Il était marié avec Lucie née Massa et ils habitaient au bout de la rue du Pré de Foire …

Sabine Avois
– M. et Mme Carletto.. Cette dame d’une discrétion et d’une douceur… Je me rappelle bien de Mme Carletto…
Louis, c est le prénom du fils… Le papa, c’est Jean Carletto…

Voilà… C’est aussi ça Passadoc… Pas de grise nostalgie… juste de souriants souvenirs !

* Clic ! … Vidéo du 31 août

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Alain Cathala

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Henri Étoile

Pays de Cocagne-Lauragais…

 … quelque part entre Le Pech de Nadiau et Montréal – Aude. Le Lauragais est très riche en bâtiments et lieux de vie abandonnés pour différentes causes.

Certains de ces bâtis illustrent à merveille l’histoire prospère de la Région sous différents aspects : modes de vie, modes de productions, modes de constructions, etc.

En évoluant d’un univers à l’autre sur cet immense territoire du Pays de Cocagne, on découvre de très beaux ensembles architecturaux et paysagers qui généralement donnent une idée de la richesse passée et actuelle… Découvertes parfois esthétiquement émouvantes, porteuses d’une histoire et d’une mémoire, merveilleux supports pour l’imaginaire….

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Saint-Ferréol-Revel

Haute Garonne… Une galerie sous la retenue du barrage d’alimentation du Canal du Midi… Émotion de l’histoire de la vie humaine et de la nature en ce lieu fabriqué il y a quatre siècles.

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Claude Boyer

Monsieur Seguin a-t-il vraiment existé ?

M. Seguin n’avait jamais eu de bonheur avec ses chèvres. Il les perdait toutes de la même façon : un beau matin, elles cassaient leur corde, s’en allaient dans la montagne, et là-haut le loup les mangeait…

Nous avons tous peu ou prou frémi à l’évocation du funeste destin de Blanquette raconté par Alphonse Daudet en 1869.
Mais si certains parents en ont tiré une leçon de prudence pour leur enfant, qui s’est vraiment demandé si cette triste histoire n’avait pas un fond de vérité, ou du moins si elle n’a pas été inspirée de personnages ayant réellement existé ?

La question peut paraître saugrenue de prime abord, mais s’il en était autrement ?

Alphonse Daudet est un habitué du moulin de Fontvieille où il séjourne régulièrement lorsqu’il quitte sa maison de Draveil dans l’Essonne. Il est familier d’un grand nombre des habitants du village et il est plus que probable que certains de ces personnages l’aient inspiré pour ses héros de fiction qu’il nous dépeint avec tant de charme.

Comme nous connaissons l’histoire de Blanquette, nous connaissons tous Le secret de Maître Cornille ; or, Cornille est un nom répandu dans les Alpilles ; mais qu’en est-il de Seguin ? En vérité ce n’est pas un patronyme très fréquent mais il apparaît de façon régulière dans les registres paroissiaux et d’état civil.

Les détracteurs de la thèse d’un “Moussu Seguin” qui aurait inspiré le romancier veulent pour preuve qu’on n’avait plus vu de loup dans la région depuis belle lurette lorsqu’il écrivit son conte. Mais leur argument se trouve mis à mal car les archives communales font état d’un loup tué à Fontvieille au milieu du XIX° siècle.
La bête, traquée par un berger nommé Jean Peyre s’était réfugiée au village où elle fut mise à mort par le dit berger dans la rue devenue depuis rue… Alphonse Daudet (tiens ! tiens !).

Le chasseur exposa la peau dans une maison près de la tour des Abbés, maison encore dénommée de nos jours “l’oustaou de la pèu seco” (la maison de la peau sèche). Ce fut le dernier loup qu’on vit à Fontvieille. Il est impossible qu’Alphonse n’ait pas entendu parler de cette histoire qui n’avait du coup plus rien d’anachronique, mais qu’en était-il de M Seguin ?

Un érudit local, Honoré Coudière, ainsi que de nombreux villageois affirmaient son existence en la personne d’un cultivateur de Tarascon nommé Jean Seguin, fils de François Seguin et de Magdeleine Chauvet. Ce Tarasconnais faisait de fréquentes visites à Fontvieille, moins pour le village que pour une fille du cru nommée Elizabeth Bertrand qu’il épousa en 1857 et dès lors s’installa au pays de sa belle. Jean abandonna sa profession de cultivateur pour celle de berger. Menant ses chèvres dans les collines et rencontrant de nombreuses fois Daudet tandis que celui-ci parcourait les Alpilles à la recherche de l’inspiration.

C’est sans doute de ces rencontres et de l’événement du loup qu’a germé dans l’esprit de l’homme de lettres l’idée de l’apologue que nous connaissons tous. Il ne restait plus qu’à situer la ferme d’où Blanquette s’évaderait. Pour parfaire l’histoire, il y avait au pied du moulin un vallon au milieu duquel se dressait un petit mas. Ce mas était entouré d’un clos et dans le champ poussaient des aubépines. Il a appartenu au père d’Honoré Coudière, forcément bien placé pour en parler.

Ainsi donc, monsieur Seguin a bien existé. Ce brave berger est mort en 1912 à Fontvieille sans s’imaginer qu’on parlerait de lui dans le monde entier pour les décennies à venir…

L’histoire est-elle vraie ? On se plaît à y croire. D’aucuns affirment que Daudet s’est inspiré du poète grec Théocrite, mort vers 250 av. J.-C., qui avait écrit Thyrsis le chevrier pleurant une chèvre qu’un loup a dévorée. Avouez que la version d’Honoré Coudière est quand même plus sympathique !

[Source : généprovence. Photo : Futura Sciences]

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Jaurès

Je me suis amusé à retrouver son acte de naissance. Saviez-vous que son premier prénom était Auguste ?
Passadoc se devait de rendre hommage à l’un de ses plus prestigieux enfants,
si ce n’est le plus prestigieux.


Jean Jaurès est né à Castres le 3 septembre 1859

Jeanne Monin
Issu d’une famille bourgeoise, Jean Jaurès est un brillant élève d’abord au collège de Castres puis au collège Sainte-Barbe (Paris) et au lycée Louis-le-Grand (Paris) où il prépare le concours d’entrée  à l’École normale supérieure.
Agrégé de philosophie, il commence une carrière politique comme Républicain.

En 1885, benjamin de la Chambre des députés, il siège au centre gauche parmi les républicains “opportunistes”, favorables à Jules Ferry. Battu lors des législatives de 1889 puis réélu de comme socialiste indépendant lors de celles de 1893, il soutient la grande grève des mineurs de Carmaux, s’oppose aux “lois scélérates” et dénonce la collusion d’intérêts économiques avec la politique et la presse. Il prend la défense du capitaine Dreyfus, participe à la fondation du Parti socialiste français en 1902, puis fonde et dirige le quotidien L’Humanité.

En 1905, il est un des rédacteurs de la loi de séparation des Églises et de l’État. La même année, il participe à la création de la Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO), dont il est l’un des acteurs principaux, unifiant ainsi le mouvement socialiste français. Ses positions réformistes lui valent toutefois l’opposition d’une partie de la gauche révolutionnaire.

Il consacre les dernières années de sa vie à tenter d’empêcher le déclenchement de la Première Guerre mondiale, se liant aux autres partis de l’Internationale ouvrière et faisant planer la menace de grève générale au niveau européen. Le 31 juillet 1914, il est assassiné à Paris par le nationaliste Raoul Villain.

En 1924, sa dépouille est transférée au Panthéon (Paris).

[Source Wikipédia]

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Philippe Natalini

1944… Débarquement de Provence. Commémorations 2021

– En juillet et août, Le Vent des Libérateurs a été diffusé à Bargemon, La Motte, Fréjus, Draguignan, Le Muy, Le Mitan, Montferrat, Fayence et Alleins,

Été 44 : Mémoires d’un Commando d’Afrique était diffusé en avant première à Le Muy, Le Rayol Canadel et La Londe Les Maures.

L’accueil réservé à chacune de ces diffusions a été extrêmement chaleureux, notamment celui de Pierre Velsch qui a été ravi du résultat final. D’autres diffusions sont en cours de programmation et l’édition de DVD de ces deux films est en cours. Nous sommes très fiers de contribuer ainsi à entretenir et transmettre la mémoire de toutes les personnes qui ont contribué par leur engagement au succès du Débarquement de Provence.

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3 septembre 1944, Monaco et Cap d’ail sont libérées…

Voici les témoignages de plusieurs personnes ayant vécu cette douloureuse période.

À Monaco, on rêve de la libération… Elle se fait non sans dégâts préalables. Le square Théodore Gastaud est dévasté, le quartier du port est bombardé quotidiennement. «
Les Allemands ont placé leur centre de communication en Méditerranée dans un bunker situé près du port, note Frédéric Laurent.
[…]
Nous sommes privés d’eau, de gaz et d’électricité. Pendant 15 jours, j’allais tous les jours à l’école des frères pour prendre la ration familiale de soupe populaire. Nous n’avions plus rien, se remémore René Novella.

Le 3 septembre au matin, après une nuit “titanesque”, les derniers Allemands quittent la Principauté et le drapeau français flotte sur la gare. Les groupes de résistance se rejoignent place d’Armes. Jean-Joseph Pastor se rappelle encore ému des unités américaines qui campent à l’entrée de la ville :
Il y avait une dizaine de jeeps arrêtées à la frontière. Ils nous ont distribué des barres de chocolat vitaminés et des chewing-gum.

Pour la communauté juive, qui a dû se cacher durant des années, cette nuit-là prend une dimension d’autant plus forte.
On a vu tout un tas de gens sortir de terre. Ils étaient blancs. Tous les juifs sont venus célébrer la libération, confie Adrienne Wolzok.

Avec la Libération, vient aussi le temps de l’épuration et de la chasse aux collabos. Jean-Joseph Pastor a encore en mémoire les images de ces “jeunes femmes sur des estrades, avec des résistants qui les rasaient et peignaient la croix gammée sur leur crane…
La principauté ne retrouvera son calme que le 8 mai 1945. Au final, durant la Seconde Guerre mondiale, “Monaco aura perdu 20 % de sa population”.

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Le sémaphore du Dramont à Saint-Raphaël…

L’histoire du sémaphore du Dramont remonte au Moyen Âge… Le territoire agathonien (d’Agay) dépendait de l’évêché de Fréjus, qui ordonna la construction en 1562 d’une tour de guet sur la colline de Dramont ainsi qu’à la Baumette.

L’actuel sémaphore est construit en 1806. Il est fermé huit ans plus tard lors de l’abdication de Napoléon, et ré-ouvert durant les “Cent jours” en 1815 puis à nouveau fermé. En 1966 le sémaphore est réarmé. La dernière rénovation du bâtiment date de 1980. Depuis le 1er mai 2010, le sémaphore est armé en veille permanente.

Le Cap Dramont (127 m d’altitude), situé sur la commune de Saint-Raphaël, est dominé par un sémaphore. Celui-ci est utilisé par la Marine Nationale pour la surveillance maritime, aérienne et terrestre. Le sémaphore offre une vue panoramique sur l’Estérel, la rade d’Agay et la mer Méditerranée. La vigie est une cabine vitrée rapportée sur une tour cylindrique blanche. Elle est accessible par un escalier en colimaçon depuis la salle technique à partir 3e niveau du bâtiment. Sa superficie est de 20 m². La cabine de veille est élevée à 20,8 mètres au-dessus du niveau du sol. Accolés à la tour de vigie se trouvent des bâtiments de logement de couleur ocre rouge, comme la roche de l’Estérel.

Cet édifice récemment restructuré par de longs travaux, est ouvert au public uniquement lors des journées du patrimoine. Ce site reste une belle idée de sortie toute l’année …😉

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Lever de soleil sur le sémaphore du Dramont – Photo F. Abbe

Clic !… Vidéo François Abbe

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La First Airborne Task Force parachutée sur le secteur du Muy-La Motte,

Le Général Frederick (commandant la First Air Borne Task Force) obtient du Général Patch (commandant la VIIe armée américaine) l’autorisation de franchir l’estuaire du Var le 30 août 1944. Il déploie ses unités dans les différentes vallées des Alpes-Maritimes : le 509th PIR dans la Vésubie, le 551st PIB dans la Tinée, le 517th PIR dans le Paillon et la Bévéra et le 1st Special Service Force dans le Mentonnais.

C’est autour du col de Braus que ces parachutistes essuyèrent la plus vive résistance face à des troupes fraîches et combatives appartenant à la 34e ID allemande, perdant une cinquantaine d’hommes en quelques semaines.

Sospel ne sera libérée que le 28 octobre 1944 après des bombardements terrestres et navals qui coûteront une quarantaine de victimes à la population du chef-lieu de la Bévéra.

Le premier cliché daté du 04 septembre 1944 montre des parachutistes américains du 517th PIR recherchant le contact avec les défenseurs allemands du col de Braus. Ces parachutistes identifiables par leur casque, leur uniforme et des armes caractéristiques, sont accompagnés par des FFI, tête nue, leur servant de guides.

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Saint-Martin-Vésubie…

… avait été désignée par le gouvernement de Vichy comme l’une des localités maralpines devant héberger des juifs étrangers assignés à résidence.

Le village accueillit ainsi, en 1943, trois cents familles juives, pour la plupart originaires d’Europe centrale et orientale. Sous la protection des villageois et des soldats italiens, ils y vécurent une période de paix et de sérénité, pouvant pratiquer leur culte, envoyer les enfants à l’école, se retrouver dans le village.

Le 8 septembre 1943, la capitulation italienne mit un terme brutal à cette parenthèse heureuse. Voulant échapper à la “chasse aux juifs” ordonnée par Aloïs Brunner, guidées par des habitants du village, la plupart des familles s’enfuirent vers l’Italie par les cols de Cerise et de Fenestre.
Certains, restés au village, furent arrêtés par les Allemands, et ce malgré la solidarité manifestée par les habitants pour les sauver. Ceux qui, malgré les éprouvantes difficultés liées à la marche en montagne, purent arriver en Italie, étaient attendus par les Allemands à Borgo San Dalmazzo. 328 furent immédiatement arrêtés et déportés à Auschwitz. Seulement 12 d’entre eux survécurent.

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André Abbe

À l’oubradou de la fouant

Une peinture de Patricia Gourier qui expose à l’Oubradou de la fouant (rez-de-chaussée de la maison Abbe à Roquebrune).
Par cette vente, Patricia enrichit la cagnotte de Passadoc ! En effet, 10 % de ce qui se vend à l’Oubradou sont réservés à Passadoc.
Rendez-vous aux journées du patrimoine pour les visites guidées.

Clic !… Rappel.

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Marie-Dominique Germain

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Alain Pierre

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Jack Dou Martegues Grande

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Yves Massa

Ma grand-mère – qui était aussi une des dernières lavandières avec Madame Escoffier –
allait laver son linge à la Maure
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Marie-Odile Beraud

Cartes postales de Puget-sur-Argens “Avant“.
Bien sûr ça a beaucoup changé, dommage que certains lieux n’aient pas été mis en valeur…

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Philippe Levieux

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Patricia Tritiapat Gueirard

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Jean Paul Dubroca

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Louis Mizon

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Jack Dou Martegue Grande

Clic !… Saintes-Maries-de-la-Mer

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Documentaire réalisé dans les années 80 par Jacques Mouton et intitulé
Gémenos en Provence et ses environs. On y parle de Marcel Pagnol et des traditions provençales.

Clic !

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