La Gazette de Passadoc – N°34

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Publiée tous les vendredis, La Gazette de Passadoc regroupe les quiz, les articles ainsi que des récits,
des photos et diverses informations parus tout au long de la semaine sur le Groupe Passadoc.
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Un ouvrage à découvrir : des anecdotes – tranches de vie joliment racontées – de belles photos, du papier de qualité (150 g/m² – cahiers cousus… c’est rare aujourd’hui !)… bref, la classe !

En vente ICI

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  • Les QUIZ !
  • Les articles de la semaine
    J’ai rencontré un enfant sauvage…
  • Le Groupe Passadoc raconte un peu… beaucoup… passionnément !
    La commanderie templière de Sainte-Eulalie de Cernon… Un maire offensé… Le tout premier parachutage dans le Var… La libération du littoral azuréen… Charles de Gaulle à Marseille… La tradition de l’omelette géante…
  • Passadoc vous informe…
  • La bibliothèque de Passadoc
  • Quelques images d’ici, d’ailleurs, d’un peu plus loin.

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“En Charente, on allumait une lanterne de pétrole en haut de ces monuments placés dans les cimetières, lorsque quelqu’un était enterré cela permettait de guider son âme vers le ciel/les cieux afin qu’elle trouve sa place dans l’autre monde et ne soit pas bloquée sur terre.“, ajoute Aurelie Amadieu

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Jeanne Monin
Les Lavezzi, c’est le paradis… et l’enfer à la fois, résume François Canonici, l’historien de Bonifacio.
Et comme souvent, les légendes hantent les lieux…

On raconte… on raconte que les marins perdus de La Sémillante errent sur les îles…
Ainsi quand les vents se déchaînent – comme ce fut le cas ce jour de février 1855 – qu’à grand fracas, les hautes vagues déferlent sur les rochers, que les goélands lancent leurs cris stridents, on raconte… on raconte que ce qu’on entend, ce sont les appels des naufragés qui demandent secours.

Le soir, dans les bars de Bonifacio, il n’est pas rare que les musiciens entonnent des lamenti, des complaintes, telle L’Agunia di a Sémillante. Comme pour exorciser les démons.

Clic !… Pour tout savoir

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Claude Boyer

Clic !… J’ai rencontré un enfant sauvage

Photo Pinterest

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Alain Cathala

Clic !… Commanderie Templière de Sainte Eulalie de Cernon

“L’installation des Chevaliers du Temple date du XII°siècle. Après leur chute, la Commanderie passera à l’ordre des Hospitaliers de l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Sainte Eulalie de Cernon fut la plus importante Commanderie du Midi de la France…”

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Claude Boyer

Un maire offensé

Le 3 septembre 1891, M. Louis-Ernest Fatou, enseigne de vaisseau originaire de Bretagne, prenait pour épouse Mlle Magdeleine Pauline Alix Joséphine d’Abel de Libran, née à Paris et fille d’amiral en mairie de Lambesc dans les Bouches-du-Rhône.

Si la mariée avait tenu à ce que ses épousailles se fassent en Provence, c’est qu’elle y avait des attaches.
Seulement voilà, parce que les novis (jeunes mariés) n’étaient pas Provençaux et ignoraient les us et coutumes survint l’affaire avec un grand A.
Et surtout, il faut le dire en toute honnêteté, parce que M. le Maire était quelque peu susceptible.

Mais que s’est-il donc passé ?
M. Delescalle, maire de Lambesc, n’avait pas souvent l’occasion de recevoir le consentement de “novis aristocrates”, à vrai dire jusqu’à ce jour, il n’avait célébré que des mariages de gens dirons-nous “ordinaires” et il ne lui déplaisait pas de briller devant le parterre d’invités de marque qui ne manqueraient pas de constituer le cortège.
Pour l’occasion il était chaussé de souliers impeccablement cirés, avait revêtu son habit noir queue-de-pie , celui qu’il ne sortait de la naphtaline que pour les circonstances d’importance comme la visite du préfet, un magnifique plastron surmonté d’un nœud papillon serrant un col empesé complétait sa mise soignée ; il avait enfilé des gants blancs immaculés et raidis par l’amidon à tel point qu’il pouvait à peine plier les doigts et avait troqué son chapeau contre un superbe haut de forme lustré qui lançait des reflets bleu paon que n’aurait pas désavoué le phare de Martigues.

Tenant dans une main les feuilles du discours laborieusement préparé pour la circonstance, et s’appuyant sur une canne à pommeau doré de l’autre, M. Delescalle, maire de Lambesc et officier des Palmes Académiques, attendait les fiancés sur le perron de la mairie dans une pose de statue grecque.

Enfin, car il faisait chaud en ce début septembre et il souffrait immobile en plein soleil dans son accoutrement, enfin un brouhaha se fit entendre. Immédiatement, il bomba le torse pour paraître à son avantage et lorsque la joyeuse troupe apparut au coin de la rue, sa mâchoire tomba et il resta bouche bée, les yeux exorbités devant le spectacle qui s’offrait à lui… Il avait imaginé recevoir des dames coiffées de larges chapeaux, un léger voile recouvrant leur visage et vêtues de superbes robes à crinoline accompagnées de messieurs en frac, tout ce beau monde précédé de la future mariée en robe blanche serrant sur son cœur un bouquet de fleurs d’orangers.

Au lieu de ça, il vit s’approcher une joyeuse troupe en tenue de jour et dans le plus grand désordre suivant la mariée vêtue d’une robe ordinaire. Tout ce beau monde s’engouffra dans la mairie en direction de la salle de mariage sans même lui prêter attention. Piqué au vif, rouge comme une pivoine, M. Delescalle considéra son autorité bafouée et la République offensée devant cette mise négligée et cette entorse aux convenances. Il froissa le discours dans sa poche et faisant face aux mariés appuyé de ses deux poings sur le bureau, il supprima le superflu et s’en tint aux strictes formules légales.

Dès lors il ne songea plus qu’à la vengeance qu’il ourdirait pour laver un pareil outrage.

Il ne dut pas attendre bien longtemps car le lendemain, après le mariage religieux où tout ce beau monde s’était rendu en habit de cérémonie conduit par la mariée en robe blanche et fleurs d’oranger en main – ce qui augmenta la rage du fervent républicain qu’il était – avait lieu au château de Libran le traditionnel repas que la musique locale – dite municipale et donc payée par l’argent public – s’était proposée d’égayer gracieusement.

Tout à sa vengeance et perdant tout sens des réalités, le maire envoie un plénipotentiaire à la fanfare, ce dernier nanti d’une injonction interdisant à la musique de rendre hommage à l’honorable et très respectée famille du pays.
Mais les musiciens qui ne l’entendent pas ainsi, refusent catégoriquement d’obéir à cet ordre qu’ils jugent excessif et expédient un délégué à M. Delescalle pour lui faire entendre raison. Fin de non-recevoir de l’édile qui rédige sine die l’arrêté municipal inimaginable que voici :

– Considérant que le 3 septembre dernier, un délégué de la société musicale municipale de notre commune s’est présenté en notre mairie et nous a adressé des paroles inconvenantes et injurieuses pour les fonctions et attributions dont nous sommes investi,

Considérant que si le délégué a tenu un tel langage, c’est qu’il existe dans la société musicale des membres hostiles à nos institution républicaines, membres qui soutiennent et contribuent à jeter le désordre dans le corps musical et par suite à soulever des discussions dans la commune au profit des ennemis de la République,

Considérant que la Société musicale non autorisée par M. le préfet, subventionnée en argent et en nature par la commune, est sous la dépendance de notre administration, que par conséquent il nous appartient de la dissoudre et de la reconstituer s’il y a lieu,
Arrêtons :

Article 1er. — La Société musicale municipale de la commune de Lambesc est dissoute.
Art. 2. — Les détenteurs des objets appartenant à ladite Société devront, sous peine de procès verbal, les déposer aux archives de la mairie, dés que nous leur en auront signifié l’ordre.
Art. 3. — Le
garde champêtre de la commune est chargé de l’exécution du présent.«

Fait en mairie, le 5 septembre 1891, Delescalle, maire de Lambesc.

Bien évidemment, un tel tissu d’inepties ne manqua pas d’ulcérer le président et les sociétaires du Cercle musical qui rédigèrent une lettre adressée au maire, avec copie au préfet, missive qui contestait très légitimement les prétendus droits sur sa musique.

Quelle furent les suites données à l’affaire ? Malheureusement nous ne connaissons pas le fin mot de l’histoire.

Source : Généprovence – Photo Wikipédia – Mairie de Lambesc

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Philippe Natalini

Le tout premier parachutage d’armes dans le Var

Le Var avait été choisi comme base d’émission radio et de repli pour l’équipe du SOE ” Monk” arrivée à Marseille entre juin et août 1943.

Un trio composé de colonel Skepper Bernard (ou Henri Truchot) , de l’officier radio Stiehl ou Steele Laurent (ou Arthur Saunier) et d’Eliane Plewmann Gaby (ou Eliane Prunier), était chargé de constituer un groupe de sabotage. Par l’intermédiaire de Pierre Massenet, le groupe “Monk” trouve deux points de chute, très dissemblables.

À Roquebrune-sur-Argens (83), un abri sûr et isolé leur est fourni par des amis de Massenet, l’aviatrice Suzanne Goutte et l’architecte Jean Hellet.
À Barjols (83), c’est la maison de village d’Eugène Garcin (dit Garcin des essences, car commerçant en bois, charbon et carburant) qui les accueille.

Dès lors, des émissions radio ont lieu dans les deux localités. Garcin et ses deux fils hébergent le poste de Steele jusqu’en mars 1944.
Sur les conseils de Jean Chabaud et de Paul Guigou, le choix du terrain de parachutage se fixe sur le lieu-dit La Rimade, à proximité de la bastide de Piégros. C’est sur ce terrain que deux mois plus tard, une équipe de résistants locaux dirigé par Eugène Garcin réceptionne huit containers.

L’épisode est important dans la mesure où c’est par là que parvient le premier parachutage d’armes reçu dans le Var. Il a lieu le 15 septembre 1943, à Brue-Auriac, sur le terrain “Fantômes”. Garcin qui avait participé au repérage de terrains avant même l’occupation, en liaison avec les résistants de Brignoles (Marius Brunet), le fait réceptionner par l’équipe de Résistance locale de l’Armée Secrète, dirigée par l’instituteur socialiste, Jean Chabaud.

La deuxième opération, prévue fin septembre 1943 échouera. Une partie des armes reçues est cachée sur place et sera récupérée, quelques mois plus tard par les FTP de Barjols. Ce sont très probablement Skepper et Steele qui viennent visiter la 1ère Cie FTPF de Provence, repliée, fin 1943-début 1944, dans la région de Saint-Maximin-Brue-Auriac et lui remettent quelques mitraillettes et du plastic.

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La libération du littoral azuréen

Il s’acheva le 6 septembre 1944 avec l’entrée des parachutistes américains à Menton. La libération de l’arrière-pays niçois fut plus tardive et plus aléatoire car, lorsque des villages étaient libérés, comme Saint-Martin-Vésubie, Isola ou Saint-Etienne-de-Tinée, ils demeuraient sous la menace de tirs de mortiers allemands, et d’incursions de patrouilles ennemies.

Deux tanks destroyers furent donc placés sur le plateau d’Auron et sur la route de La Colmiane afin de tenir en respect les chasseurs tyroliens et bavarois accrochés sur les crêtes du Mercantour. Les paras alliés utilisèrent des FFI locaux comme guides et bénéficièrent du concours précieux de 240 partisans de la brigade Carlo Rosselli, d’abord déployés entre Isola et Auron puis en amont de Bélvédère, dans la vallée de la Gordolasque reliant la Vésubie à Roquebillière.

Les parachutistes du 551st PIB parvinrent à Saint-Etienne-de-Tinée le 10 septembre 1944. Dès le lendemain, ils installèrent sur le plateau d’Auron (1 600 mètres d’altitude) un tank destroyer pouvant tirer sur les crêtes du Mercantour tenues par des chasseurs tyroliens particulièrement combatifs. Ceux-ci opéraient des incursions jusqu’au lit de la Tinée tous les jours.

Disposant d’abondantes munitions, les tankistes pouvaient tirer sur leurs adversaires plusieurs centaines d’obus par jour, calmant ainsi leurs ardeurs offensives et, très rapidement, les empêchant de descendre des Pas de Colla Longa et de Barbacane jusqu’au chef-lieu de la Haute-Tinée.

Sur la première photo, on reconnaît autour du char une dizaine de partisans italiens de la brigade “Giustizia e Libertà” Carlo Rosselli (commandée par Nuto Revelli) parvenue dans la vallée de la Tinée à la fin du mois d’août par le col de la Lombarde et le vallon de Mollières.
Source : musée de la Résistance en ligne.

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Charles de Gaulle en visite à Marseille

Septembre 1944 : dans la ville récemment, une foule enthousiaste accueille le général.

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Mo Lalario

La tradition de l’omelette géante

Selon la légende, alors que Napoléon et son armée traversaient le sud de la France, ils décidèrent de camper pour une nuit près de la ville de Bessières. Napoléon se régala d’une omelette préparée par un aubergiste du lieu qui fut un tel délice qu’il ordonna à tous les habitants de rassembler tous leurs œufs et de préparer une énorme omelette pour les hommes de son armée le lendemain.

Cette légende est à rapprocher de la tradition selon laquelle les jeunes conscrits, avant leur départ, faisaient le tour des fermes pour se procurer des œufs et partager ensemble une omelette géante. J’ignore si celle-ci était connue de Napoléon, ni s’il l’inspira. Toujours est-il qu’à Bessières, comme sans doute ailleurs, on avait l’habitude, avant Pâques d’envoyer les jeunes récolter autant d’œufs qu’ils en trouvaient pour partager ensuite en toute amitié avec les plus pauvres des habitants une belle omelette villageoise qu’ils dégustaient ensemble au bord du Tarn.

À partir de là paraît-il l’omelette géante devint une tradition. Elle est depuis devenue le symbole d’une fraternité mondiale, riche en échanges amicaux, et culturels.

À Bessières (Haute Garonne) est née la première Confrérie des Chevaliers de l’Omelette Géante :

Bessières a été de tout temps le village le plus turbulent et entreprenant de tout le canton. Ses nombreux commerces et artisans trouvaient facilement prétexte à faire la fête. Il était donc normal que, sous la houlette de Georges Martel, ils aient créé une amicale dès 1955.Par tradition donc, les jeunes se réunissaient sur les bords du Tarn, le lundi de Pâques pour déguster ensemble l’omelette. Ce rassemblement devenant d’année en année plus important, en 1973, Bernard Beilles, président de l’amicale, joyeux drille de surcroit, proposa de créer une confrérie ayant pour but de “préparer et de faire déguster gratuitement, dans la joie, l’omelette géante aux Bessiérains”. Avec les années 1980, la Confrérie s’ouvrit au monde francophone et devint le Confrérie Mondiale de Chevaliers de l’Omelette Géante : 1984 Dumbéa en Nouvelle Calédonie, 1985 Abbeville en Louisiane USA, 1986 Fréjus en France, 1987 Granby au Québec (Canada), 1995 Malmedy en Belgique, 1998 Pigüé en Argentine …
(Citation de la page d’accueil de la Confrérie).

À Fréjus, le quartier de Saint-Aygulf qui célèbre son omelette géante le 2e dimanche du mois de septembre n’a pas manqué à la tradition cette année. Ainsi 12 000 œufs ont été cassés, mélangés, patiemment cuits dans l’immense poêle à frire qui est spécialement dédiée à cette occasion. Voici quelques photos de cette manifestation qui s’est déroulé hier, dimanche 12 septembre, sous le soleil et dans l’allégresse. (Photos Marie Golec)


Pour Pâques, c’est une autre histoire. Pendant treize siècles, l’Église a interdit la consommation d’œufs pendant le carême. Au bout des 40 jours, on consommait les œufs qu’on avait stockés durant la période du carême, précise Sylvain Romiguier.

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François Abbe et Xtel N’riot

Des amandes, du fenouil, de la menthe, de l’huile d’olive, de l’ail… et du pain !

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Richard Au

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Henri Étoile

Magie et Sorcellerie – Exposition temporaire -Muséum d’histoire naturelle – Toulouse

Une exposition relativement décevante pour le tarif d’entrée demandé ! Une introduction intéressante par la présentation du travail d’un artiste africain qui à partir de sa mémoire personnelle met en valeur des portraits fantasmagoriques de “Guerrières-Amazones” du Dahomey (Bénin aujourd’hui, ex-colonie française) dont on peut découvrir que ces femmes composaient à parité les effectifs des combattant-e-s de ce pays tout comme dans les autres champs de la vie sociale de ce peuple jusqu’à l’arrivée des colons occidentaux français.

Plus loin, on découvre la fonction des Pierres dans la vie des humains d’avant l’antiquité avec un détail très intéressant selon les éléments et les cycles de la vie (base 7), cycle merisier illustré par le bas relief préhistorique de la “Vénus à La Corne”.

Intéressante présentation d’Hildegarde Von Bingen dans ce contexte… Le reste est quasiment sans aucun intérêt et même à éviter, tout simplement, deci delà quelques illustrations ou bien des hublots dans le sol pour faire illusion d’une exposition intelligente et immersive (!!!!), le tout dans une scénographie catastrophique pour ce qui concerne l’accès aux œuvres et aux cartelsquasimentbillisibles-invisibles, sauf à disposer d’un appareil photo pour pouvoir lire les textes…!!!

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Alain Pierre

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Philippe Natalini

À l’occasion des journées du patrimoine, et précisément le dimanche 19 septembre 2021, Provence 44 Productions diffusera au Mémorial du Débarquement du Faron à Toulon ses deux films sur le Débarquement de Provence : “Le Vent des Libérateurs” et “Été 44 : Mémoires d’un Commando d’Afrique“.

Et cerise sur le gâteau, notre très cher héros des Commandos d’Afrique Pierre Velsch que j’ai vu récemment nous fera l’honneur de sa présence sur site. Ci-dessous : le programme complet de ces journées et les horaires figurent en illustration.

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Richard Au

Journées du Patrimoine – Alet-les-Bains – Maison Nostradamus – Place de la République

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Jack Dou Martegues Grande

Journées du Patrimoine – Mouriès

Clic !…La CapoulièreMaillane

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Pascale Fernandez

Clic ! Vient de paraître !

Si vous souhaitez passer commande vous pouvez bénéficier d’une petite remise !
(Code remise : LLB5)

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Marie-Odile Beraud

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Dom Puig

Miramas-le-Vieux – Bouches du Rhône

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Jean Hallez

Clic !… Au son des fifres et des tambourins !

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Jean Yves Dumay

Mon arrière grand-mère, dernière lavandière du Muy, en route pour le Rabinon…
(Photo parue dans Var Matin)

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Patricia Tritiapat Gueirard

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Gilles Barattini

Dans le golfe de Saint-Tropez : une manche du championnat du monde des voiliers F50.

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Hervé Grauby

À bord de l’Ange-Gardien, l’un des rares (peut-être le seul) trois-mâts à voiles latines de méditerranée… L’Ange-Gardien est la réplique du navire de Terrisse, corsaire agathois du 17e siècle…

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UN RENDEZ-VOUS À NE PAS MANQUER !

Vendredi 17 septembre, à 19 heures, sur la terrasse de L’Oubradou de la fouant, pour un repas à partager entre gens de Passadocie…
ou pas !, qu’ils viennent de Roquebrune, du Puget, de Fréjus… ou d’ailleurs !

Clic !… François Abbe dit tout à cette page.

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