Mariage à l’italienne

Julien Raynaud en transhumance-  entre Briançonnet et le Mercantour- années 80

Voici le pont de la Mariée dans le Haut Pays niçois pour évoquer un divorce en 1388 et un mariage en 1860…

Christian Estrosi vient d’inaugurer à Nice une plaque commémorant la dédition de Nice à la Savoie en 1388, acte à l’origine du particularisme niçois et de la fierté niçoise. Auparavant,Nice n’était pas française mais provençale et notre capitale était Aix. On y parlait provençal et les Niçois ont continué à parler leur langue jusqu’en 1860, date de l’annexion à la France de Nice et de la Savoie. Un mariage à l’italienne, le roi de Sardaigne s’était gardé Tende, la Brigue et quelques dizaines de milliers d’hectares pour pouvoir y chasser.

N’allez pas dire aux Niçois qu’ils parlent un dialecte de provençal maritime à peine teinté d’éléments piémontais et italiens. Vous vous feriez mal voir. C’est un sujet sensible de la fierté niçoise.
Andre Abbe

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