Après l’effort, le réconfort. Dans les années 80, il ne restait que quelques moulins à huile, aujourd’hui ils reprennent leur place dans le grand sud… et leur huile dans nos assiettes !
Les mouliniers, propriétaires ou gérants des moulins à huile, avaient mauvaise réputation. On leur reprochait de ne pas donner aux paysans toute l’huile qu’avaient rendu leurs olives. Aujourd’hui, dans les moulins modernes, les oléiculteurs peuvent surveiller les opérations. Les sacs d’olives sont vidés a l’entrée de la machine, l’huile en sort de l’autre côté peu de temps après. Mais le charme des vieux moulins a disparu.
André Abbe