Maryse Laugier nous envoie ce souvenir familial. Mais de quelle pièce s’agit-il ?
“Cette pièce a appartenu à la famille de mon père. Sa marraine était gouvernante chez le maréchal Gallieni.”
“A l’époque, les personnes recevaient ces pièces en or pour les étrennes, pour un examen, pour la communion.” complète Jean-Pierre Violino
Alors, une idée ?
Il s’agit d’une pièce de 10 Francs, c’est-à-dire un demi-Napoléon.
On y retrouve Napoléon III.
Jean-Pierre Violino ajoute : “Quand Napoléon porte des couronnes de laurier, c’est qu’une victoire a été remportée (Magenta, Solférino). Cette pièce est de 1859. C’est antérieur à ses victoires.
Sur la pièce, une lettre indique la ville où la pièce a été frappée” – On y lit la lettre A … nous savons donc que cette pièce fut frappée par l’atelier de Paris.
Et souvenez-vous, vous pouvez également soutenir PASSADOC pour ses étrennes. Cela permet notamment de produire notre projet d’exposition. L’idée est toujours la même : faire ressortir les archives des tiroirs et les souvenirs de nos têtes !