Pastis et pétanque, difficile de faire plus cliché !
L’éditeur du manuel scolaire Nippon aurait pu mettre Paris à l’honneur. En effet, si un écolier de Yokohama peut situer sans peine notre capitale, on pourrait douter qu’il sache où se trouve la Provence.
Mis à part ça voyez la réputation que nous avons.
Il ne manque plus que la sieste, les cigales et l’aïoli pour parfaire l’image d’Epinal…
Mais comme on dit communément “Redde Caesari quae sunt Caesaris“, pour nous les enfants du pays des cerisiers en fleurs se nourrissent de Sushis, s’abreuvent de Saké et s’éventrent gaiement par Seppuku…
Les vieux poncifs ont la vie dure !
Claude Boyer