Jean-Philippe Tinois nous fait connaître des outils de sa collection personnelle.
Mais à quoi servaient-ils ?
C’est un marteau avec son enclume portable à planter dans le sol pour rebattre les faux des faucheurs .le deuxième est une pince de bourrelier ,pour travailler le cuir .
Voilà les deux instruments reliés par leur sangle en cuir ce qui permettait de les porter sur l’épaule le poids de l’un équilibrant l’autre . La faux dans l’autre mains du cantonier