La Gazette de Passadoc – N° 45

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  • Les QUIZ !
  • Les articles de la semaine..
    Malpasset…
  • On raconte un peu… beaucoup… passionnément…
    Un barbecue géant !… Balade à Saint-Cassien-des-Bois… Frédéric Bazille… Un miracle à Montpellier… Canebière, Estaque, Roucas… Les Deleuze, maîtres de la réglisse montpelliéraine… Toulon, le sabordage de la flotte…
  • Vagabondages…
    Le château de Latour-sur-Sorgues…
  • Quelques images d’ici, d’ailleurs, d’un peu plus loin…
    Les lavoirs… les fontaines…
  • Photos d’hier…
  • La Bibliothèque de Passadoc

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Claude Boyer et Philippe Natalini

Malpasset…

Clic… René Blazy pose le pied sur les tuiles afin de descendre
pour porter assistance aux sinistrés mais…

Quelques extraits d’un long récit de Ph. Natalini, paru dans “Groupe Passadoc” (jeudi 02 décembre) :

[…] Soudainement, le 2 décembre à 21 h 13, près de 50 millions de mètres cubes d’eau déferlent en une vague de 40 mètres de haut dans la vallée du Reyran à 70 km/h, ravageant tout jusqu’à la mer. C’est la plus grande catastrophe de ce genre qui n’ait jamais touchée la France.

[…] Le sol vibre sous lui. Tout de suite, le gardien comprend. Il crie : “Le barrage ! Vite ! Vite ! Tout va s’écrouler ! “. Saisissant son petit garçon déjà couché, il s’élance suivi de sa femme vers le haut de la colline. Au-dessous d’eux, ils voient déferler une première vague de 60 mètres de haut qui a jailli du barrage et qui s’engouffre dans la vallée du Reyran que franchissent, à peu de distance, les tronçons de l’autoroute A8 en construction.

[…] Un paysan témoigne : “J’étais chez moi au deuxième étage, j’ai vu arriver la trombe d’eau qui me dominait de plusieurs dizaines de mètres, encerclant la maison. Les murs ont tenu. Quelques secondes plus tard, elle était passée, mais le flot continuait à couler, dans lequel je pouvais tremper mes mains. Au loin, la vague progressait à la vitesse d’un cheval au galop et je voyais sur la route les phares des voitures bousculées et traînées comme des fétus de paille.”

Dans la vallée du Reyran, en quelques secondes, 53 maisons sont détruites. Il y a déjà près de 120 morts. Sept minutes après la rupture du barrage, plusieurs millions de mètres cubes d’eau et de boue envahissent les quartiers ouest de Fréjus et se répandent dans la plaine.

Sources citées par Ph. Natalini : d’après différentes publications dont “La catastrophe de Malpasset en 1959” de Franck Bruel et le livre : “Souvenons-nous” Barrage de Malpasset, 2 décembre 1959. Ouvrage iconographique de Jean-Paul Vieu, journaliste reporter en 1959.

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André Abbe

Un barbecue géant !

Dans le massif des Maures, sur la commune de Roquebrune, il m’est arrivé de retrouver des emplacements de charbonnières, faciles à repérer après un incendie. Mais ici, plus aucun charbonnier n’a produit du charbon de bois depuis les années 40.

À Comps, dans le haut Var, j’avais pu découvrir en 1998, une charbonnière fumante de grande taille, vraiment spectaculaire. Le maître charbonnier m’avait expliqué que le charbon de bois qu’il produisait n’avait rien à voir avec celui de médiocre qualité qu’on peut allumer à l’aide d’une flamme de briquet, acheté dans un supermarché, venu on ne sait d’où.

Photo d’André Abbe“Roquebrune en images

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Dom Puig

Balade à Saint-Cassien-des-Bois…

La chapelle de Saint-Cassien (Var) a été construite sur l’axe médian Draguignan-Grasse ; elle était utilisée pour le commerce et les pèlerinages qui se rendaient à Saint-Jacques-de-Compostelle. Au bord de la Siagne, le site est un endroit paisible, à la campagne.

Au Xe siècle, la villa Narbonne et ses églises, dont Saint-Cassien et Notre-Dame “d’Ambrian” à Montauroux, appartenaient à l’abbé Maïeul. Au gué de la Siagne, la chapelle était la porte d’entrée des domaines lériniens. Ce passage fermement gardé, était la limite du fief d’Antibes. Un péage était instauré (octroit), source évidente de revenus pour l’Abbaye de Lérins qui détenait depuis 1030 la majorité des chapelles sur la Colle Narbonne et ses alentours.

Cet ancien prieuré était régi par un religieux qui se chargeait de la ferme et du prieuré, celui-ci dépendant de la paroisse de Callian.En 1340, on ne comptait qu’un prieur et un moine pour le domaine, qui compte toujours la paroisse de Callian mais aussi, la Seigneurie de la Colle Narbonne, Saint-Julien et Saint-Cassien.

En 1837, la Seigneurie de Tanneron est rattachée à la Vicairerie de Grasse. Elle appartiendra plus tard à la famille de Grasse, Cabris, De Villeneuve. De cette époque date le blason d’or à 4 chevrons, conservé jusqu’à aujourd’hui.

Au siècle dernier, le 23 juillet, il y avait messe, bal et attractions pendant deux jours et les familles du village et des villages des environs venaient y participer. On venait alors pique-niquer sur les bords du Biançon et de la Siagne. Aujourd’hui, cette tradition demeure en une seule journée.

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Alain Cathala

Frédéric Bazille

C’est le 28 novembre 1870, que Frédéric Bazille, sergent fourrier au 3e régiment de Zouaves, qui venait d’être promu sous-lieutenant la veille, pousse son dernier souffle sur le champ de bataille de Beaune-la-Rolande.

Dans un courrier de Gustave Planchon adressé à son frère, Jules Émile, et dont M. Valdo Pellegrin a publié un extrait dans son ouvrage Montpellier, la protestante, il est précisé que Frédéric “a été frappé de trois balles, une dans la poitrine, l’autre à l’épaule, la troisième dans l’abdomen. Il serait tombé dans les bras de son sergent-major et n’aurait survécu que quelques instants, assez cependant pour écrire quelques mots à ses parents.”

En cette période de défaite, l’armée se précipitait pour enterrer les corps. Le corps du jeune homme fut jeté dans une fosse commune, parmi les membres de son bataillon qui avait cédé sous la violence des armes allemandes.

Source : Sabine Duchesse

Tombeau de Frédéric Bazille, cimetière protestant de Montpellier, avenue de Palavas.

Buste sculpté par Auguste Baussan – le “Michel-Ange montpelliérain” –
et représentation allégorique de “La jeunesse” sous les traits d’une jeune femme drapée
à l’antique tendant au peintre un rameau de laurier par Henri Chapu (1833-1891)

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Un miracle à Montpellier !

Qui aurait pu croire que notre ville fut le cadre d’un miracle lié à la Vierge ? Et pourtant, c’est bien vrai !

[…] Transportons-nous au milieu du 17e siècle, dans une période troublée à Montpellier, où la plupart des églises étaient encore à terre, et où Montpellier méritait bien sur surnom de “Clapas”.

L’église Notre-Dame-des-Tables qui depuis les origines de la cité se dressait sur l’actuelle place Jean-Jaurès n’avait pas échappé à la folie destructrice qui avait opposé protestants et catholiques. Au lendemain de la “pacification” due à Louis XIII, du moins imposée à la suite du siège de 1622, on dut se résoudre à tout rebâtir. Il fallait bien que Notre-Dame et ses représentants locaux puissent disposer d’une demeure digne.

Et c’est dans ce contexte, qu’en ce 10 septembre 1654, la Vierge, la mère des Montpelliérains, puisque selon la tradition “tout enfant de Montpellier est enfant de Marie”, secourut un de ses enfants, du moins un des plus prestigieux d’entre eux, le sénéchal Simon de Saint-Bonnet de Toyras, dans l’église Notre-Dame-des-Tables.Oui, car c’est bien ce qu’elle fit… Alors que ce puissant personnage était perché à quelques mètres de hauteur, sur un échafaudage, et surveillait les travaux de reconstruction de l’église Notre-Dame-des-Tables, une pierre échappa des mains des ouvriers et vint se briser sur son belvédère. La poutre principale fut entièrement disloquée et le sénéchal fut emporté et enseveli sous un amoncellement de bois et de pierres.

Mais sa fin aurait pu être toute prochaine – n’oublions pas que le sénéchal avait dépassé l’âge vénérable de 76 ans – si la Vierge n’était pas intervenue pour l’en préserver “comme par miracle”, terme utilisé dans les chroniques de l’époque. Le vieillard aurait poussé son dernier souffle écrasé par les décombres de l’échafaudage et des matériaux. Mais il n’en fut rien, il se releva au milieu d’un nuage de poussière, s’épousseta.

Les ouvriers s’écrièrent alors au miracle, leurs clameurs s’entendirent depuis l’extérieur des murs vénérables du sanctuaire et dans tout Montpellier, on parlait du miracle de Notre-Dame-des-Tables. Le miraculé put assurer la gloire de la Vierge qui l’avait secouru, et qui avait fait un miracle pour le sauver. Pour la remercier, il fit bâtir une chapelle dédiée à Notre-Dame-du-Bon-Secours, dans laquelle il plaça ce tableau, (reproduction ci-dessous), où la Vierge de Montpellier lui tendait le bras afin d’éviter qu’il rompe ses os de sénéchal sur le sol de l’église médiévale.

Et voilà un des miracles de Montpellier… un, parmi tant d’autres… Mais celui-là était particulièrement peu connu…

Source : Sabine Duchesse

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Les Deleuze, les maîtres de la réglisse montpelliéraine.

Comme pour tout bon montpelliérain, les origines de la famille Deleuze remontent en Lozère. Ils sont en quelque sorte des “Gavachs”, un peu comme nombre d’entre nous… […]

Victor Auguste Deleuze, le premier de cette famille à oser le grand pas vers le sud, quitte au milieu du milieu du 19e siècle sa Lozère natale, et plus précisément le Collet de Dèze, où son père tenait une auberge au lieu-dit des Ayres. Une première halte l’amène à côté de Nîmes, chez un certain Ernest Barre, fabricant de réglisse réputé, dont la maison est à l’origine de la célèbre marque ZAN. Il est rapidement apprécié par son employeur qui lui confie la gestion du ramassage des racines de réglisse en Espagne.

Son savoir-faire lui ouvre de nouvelles portes. Les établissements montpelliérains qui règnent en maître sur cette activité, et notamment la société Fouques, souhaitent s’associer ses compétences et son réseau d’hommes d’affaires ultra-pyrénéens. Il décide toutefois de rester fidèle à son employeur, tout en envoyant ses deux fils travailler chez le concurrent montpelliérain. En cela il est bien lozérien : on ne met jamais les deux pieds dans le même sabot. On ne sait jamais ! Victor et Louis travaillent peu de temps dans cet établissement et dès 1889 fondent la célèbre société Deleuze.

Dans les années 50 à 70, cette société employait jusqu’à trente personnes et ses productions, près d’une tonne quotidienne, étaient vendues à travers la France entière et dans les meilleures épiceries fines… Les chutes de réglisse, vendues 20 centimes, pliées dans des cornets en papier, font encore sourire les Montpelliérains qui étaient des enfants jusqu’aux années 1980.

L’année 2009 est celle de la fermeture de la célèbre boutique de l’avenue de Toulouse. Hélène Belin, la petite-fille de Victor, et son époux Émile, tirent le rideau sur un siècle d’histoire, et tirent un trait définitif sur l’image de “Montpellier, capitale de la réglisse”… Mais le souvenir de cette maison est encore vivant dans la mémoire des Montpelliérains et sera difficilement effaçable… L’enseigne avec ses lettres peintes qui ornent encore la façade de l’avenue de Toulouse mériterait d’être protégée au titre des Monuments Historiques. Elle rappelle un temps où Montpellier pouvait apparaître comme la “capitale du bonbon noir” et aux anciens montpelliérains les souvenirs de sortie d’école et de catéchisme.

Texte : Fabrice Bertrand

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Philippe Natalini

1942. Toulon
le sabordage de la flotte

Il y a exactement 79 ans de cela, l’armée allemande tente de s’emparer de la flotte française, alors consignée au port de Toulon.

Près de 90 bâtiments français, dont la totalité des bâtiments de haute mer, se sabordent pour ne pas tomber aux mains de l’ennemi. Tous les grands bâtiments de combat sont coulés et irrécupérables. L’opération Lilas visant à s’emparer de la Flotte de guerre française est déclenchée quelques jours après l’invasion militaire de la zone libre. Sur ordre d’Hitler, les Allemands ont pour mission de s’emparer de cette flotte de plus de 230 000 tonnes. Ceci en parfaite contradiction avec les termes de l’armistice de 1940 où Toulon devait demeurer un camp retranché tenu par des troupes françaises de l’armée de l’armistice.

Deux colonnes allemandes pénètrent dans Toulon, par l’Est, pour s’emparer du Fort Lamalgue (poste de commandement du Préfet maritime) et de l’arsenal du Mourillon, et par l’Ouest pour occuper l’arsenal principal, mais aussi les batteries du Cap Cepet qui contrôlent la sortie du port militaire.

Vers 04h30 les Allemands entrent dans le Fort Lamalgue et arrêtent l’amiral Marquis, Préfet maritime. Pendant ce temps son chef d’état major le contre-amiral Robin, présent aussi à Lamalgue, parvient à transmettre au major général de l’arsenal, le contre-amiral Dornon, l’ordre de sabordage qu’il retransmet aussitôt à l’amiral Laborde à bord du Strasbourg.La première intrusion des troupes allemandes dans l’arsenal s’effectue à 4 h 50 à la porte Nord (Port-marchand). C’est dans ce secteur que sont tirées les premières rafales de mitrailleuses sur les sous-marins comme le mentionne le rapport de la Haute Cour de Justice.

À 5 h 25 la porte de l’arsenal principal est à son tour enfoncée par les blindés allemands. Le Strasbourg, bâtiment amiral des Forces de Haute Mer, lance par radio l’ordre général de sabordage répercuté également par signaux optiques. Le branle-bas sonne alors sur tous les navires, bientôt suivi de l’ordre d’évacuation. Ne restent à bord que les équipes de sabordage préalablement désignées et constituées.

Pendant ce temps, les chars allemands ne parvenant pas à se repérer dans l’arsenal, vont perdre de nombreuses minutes avant d’atteindre leurs objectifs, permettant ainsi aux équipes de sabotages de remplir leur mission. En quelques minutes de multiples explosions secouent les bâtiments présents dans l’arsenal, au point que les Toulonnais croiront en un terrible bombardement, pour certains en un tremblement de terre. Plusieurs navires, comme les croiseurs Algérie, Marseillaise ou Dupleix, brûleront pendant plusieurs jours.

Du côté du Mourillon, cinq sous-marins ignorent les ordres de sabordage et parviennent à franchir les passes du port militaire au prix des pires difficultés (champs de mines magnétiques, bombardements allemands).

Deux rallieront Alge : le Casabianca et le Marsouin. Un ralliera Oran, Le Glorieux. L’Iris ira trouver refuge à Barcelone tandis que la Vénus préférera se saborder en grande rade. Un seul bâtiment de surface, le Leonor Fresnel, du Service des Phares et Balises, ralliera Alger, après s’être échappé des Salins d’Hyères.

Sur le Strasbourg, l’amiral de Laborde refuse de quitter son navire, il ne comprend toujours pas pourquoi Hitler a renié sa parole, celle de ne rien entreprendre contre la flotte française. Il faudra un ordre direct du maréchal Pétain pour qu’il accepte d’abandonner le bord. En acceptant ce sacrifice, la Marine a respecté son serment de 1940, ne jamais livrer la Flotte a des mains étrangères.

Le bilan au soir du 27 novembre fait état de 90 % de la flotte sabordée, dont la totalité des Forces de haute mer. Tous les grands bâtiments de combat sont coulés, irrécupérables. Certains seront par la suite renfloués mais ne feront jamais que de la ferraille. Ce sont au total 235 000 tonnes sabordées dont : 3 cuirassés, 7 croiseurs, 15 contre-torpilleurs, 13 torpilleurs, 6 avisos, 12 sous-marins, 9 patrouilleurs et dragueurs, 19 bâtiments de servitude, 1 bâtiment-école, 28 remorqueurs et 4 docks de levage. Seuls 39 bâtiments seront capturés, tous de petit tonnage sans grande valeur militaire car sabotés, endommagés, ou pour certains désarmés.

Pour les Allemands, l’opération Lilas se solda donc par un échec, dû au retard du second groupe allemand (celui venant de l’Ouest), à la qualité des “liaisons marines” et à la parfaite mise au point des consignes de sabordage.

Coté français, il serait bien prétentieux de parler de “brillante opération”, dans ce désastre qui voit la disparition d’une des plus belle flotte que la France ait jamais comptée. Tout fut perdu, fors l’honneur de ne pas l’avoir laissée aux mains de l’armée allemande.

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Patricia Jouve

Canebière, Estaque, Roucas, Menpenti


Que veulent dire ces noms de Marseille en occitan ou en provençal ?

Clic ! Vu à la lumière de langue d’oc, du provençal, de l’occitan,
les noms des quartiers de Marseille deviennent transparents.

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Alain Cathala

Le château de Latour-sur-Sorgues, une pépite à l’état brut…

Clic !… Visite…

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Alain Cathala

Tour médiévale de Gignac – Hérault

Mont Aigoual (Gard) – Première neige…

Merci Lydie pour ta relecture attentive !

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La Couvertoirade sous la neige…

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Gilles Barattini

Le Pain de sucre, la vieille cabane, et la cabane du Peyroun.
Parc du Queyras – Hautes-Alpes

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Patricia Tritiapart Gueirard

Le Plan de la Garde

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Marie-Jo Guiol

TourtourPromenade dans le village…

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LES LAVOIRS

Montauroux (Var)

Photo Maryse Laugier

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Valensole (Alpes de Haute Provence)

Photo Sylvie Leleu

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Tourtour (Var)

Photo Marie-Jo Guiol

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Aups

Photo Jean Paul Dubroca

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LES FONTAINES

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Marie-Odile Beraud

1900 – La Citadelle d’Entrevaux avec, à ses pieds, le village.

Comme le monde est petit ! Un certain Augustin Boyer écrit “Bonne poignée de main”
à mon grand-père Joseph !Et Augustin est sûrement un lointain parent de Claude Boyer !

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Alain Cathala

Le remoulaïre

Photo Sabine Duchesse

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Saint-Jean-de-Bueges (Hérault) – contre fort Larzac.
Village de mes vacances enfant… Que de souvenirs !
À visiter aussi le château des Baux où un de mes aïeux

Aubert de Gelas en fut le seigneur de courte durée.

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Marie-Jo Guiol

Tourtour

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Guy Bouyer

Un concours de pêche, vers 1930, à Agay (Camp Long).

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EN VENTE ICI

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